Details
Nothing to say, yet
Big christmas sale
Premium Access 35% OFF
Nothing to say, yet
The Iroquois lived along the St. Lawrence River and relied on fertile lands for agriculture. They had a tense relationship with the Algonquins, who were skilled in war. Paco, a young Iroquois, admired his grandmother's leadership and wanted to become a hunter. However, their village faced a crisis when the river's water level dropped and resources became scarce. The Algonquins took advantage of their vulnerability and attacked. Paco transformed into a hero, using his powers to defend his village. Although they won, they suffered many losses. Eventually, things returned to normal, but the Iroquois learned the importance of vigilance. Les nations autochtones vivaient le long du fleuve Saint-Laurent. On les appelait les Iroquois. Ils étaient retenus pour avoir des kilomètres de terres fertiles, de pleines propices à l'agriculture. Leurs terres leur permettaient de subvenir à leurs besoins, grâce à l'agriculture qu'ils pratiquaient la majorité de l'année, et se faisaient des réserves pour l'hiver. Les autres éléments leur étaient fournis par les autres nations qui voyageaient par le fleuve Saint-Laurent et qui longeaient les basses terres. Les Iroquois possédaient deux ennemis, mais les plus dominants et ceux qu'ils redoutaient le plus étaient les Algonquins, principalement en raison des armes qu'ils possédaient ainsi que les connaissances qu'ils détenaient dans le domaine de la guerre. Les Algonquins, eux, étaient tout l'inverse des Iroquois. Ils étaient nomades, vivaient dans les régions montagneuses du Québec et chassaient beaucoup. Les Iroquois avaient toujours eu des moments où ils n'étaient pas en bons termes avec les Algonquins, ce qui ne faisait qu'augmenter la tension entre ces deux nations. Dans ce village des Iroquois vivait un jeune homme nommé Paco. On l'appelait ainsi dû à l'origine de son prénom qui était Aigle à tête blanche. Son nom ne lui avait pas été donné pour rien. C'était lors de son rituel chamanique que tous les enfants devaient avoir à l'âge de 5 ans qu'il réalisa quel était son être intérieur. Ce fut l'Aigle à tête blanche. Âgé de 8 ans désormais, aux cheveux bruns et aux yeux verts, il faisait partie du clan du loup. C'est d'ailleurs sa grand-mère qui était la mère du clan. Elle était responsable de la politique, du commerce et des relations avec les autres nations. De plus, c'est elle qui choisissait des stratégies militaires et dirigeait les guerriers. Paco adorait sa grand-mère. Il admirait son éloquence, sa façon de convaincre et d'entraîner les autres dans ses idées de façon si fluide et réussie. De plus, Paco aimait bien aider son village dans les champs, aux récoltes. Toutefois, ce qu'il préférait faire, c'était aller à la chasse. Il voulait faire comme son père, comme son frère, chasser. Toutefois, il n'était pas encore assez âgé et la mère du clan jugeait que Paco n'était pas encore assez mature pour acheter sa formation. Paco était encore trop jeune pour comprendre que tous les éléments possédaient toutes une arme et qu'ils méritaient d'être respectés même après la mort. Vu que les Iroquois étaient basés sur une société matriarcale, Paco se devait de respecter ce que sa grand-mère lui ordonnait. Il continua donc de réaliser les tâches qu'on lui demandait sans rouspéter. Ce fut vers la fin de l'hiver que Paco ait fini d'acheter sa formation et l'automne arriva à grands pas. Cet automne-là, il ne fut pas comme les autres. Un matin, Paco sortit de sa demeure car il entendait un vacarme à l'extérieur de sa maison longue. Lorsqu'il fut à l'extérieur et qu'il vit toutes les familles à ce qui affichait une expression de désespoir et d'inquiétude, le niveau de l'eau du fleuve était très anormalement bas. Quelques jours plus tard, l'eau n'avait toujours pas retrouvé son niveau habituel. Quelques jours plus tard, l'eau n'avait toujours pas retrouvé son niveau habituel. Les conséquences ne faisaient que s'enchaîner, glissant chaque fois des dehors derrière. Quelques jours plus tard, l'eau n'avait toujours pas retrouvé son niveau habituel. Les conséquences ne faisaient que s'enchaîner. Le commerce fut interrompu, les héros Wendat étaient devenus vulnérables et les ressources ne faisaient que s'épuiser à vue d'oeil. Les échanges avec les autres nations qui leur fournissaient les ressources ne pouvaient plus passer par le fleuve Saint-Laurent. Plus de la moitié du village ne trouvait plus la force de se lever le matin pour aller travailler. Quelques jours plus tard, l'eau n'avait toujours pas retrouvé son niveau habituel. Les conséquences ne faisaient que s'enchaîner. Le commerce fut interrompu, les héros Wendat étaient devenus vulnérables et les ressources ne faisaient que s'épuiser à vue d'oeil. Les échanges avec les autres nations qui leur fournissaient les ressources ne pouvaient plus passer par le fleuve Saint-Laurent. Plus de la moitié du village ne trouvait plus la force de se lever le matin pour aller travailler. Leur territoire, leurs terres, leur agriculture ne faisaient que se dégrader, plus rien n'allait. Cela faisait déjà près d'une semaine que le village avait sombré, sans que rien ne s'améliore. Un jour, les Algonquiens débarquèrent sur leur territoire, ayant pour but de prendre possession de tout ce qu'ils pouvaient, majoritairement des terres complètes. Les Algonquiens étaient très équipés, ils disposaient d'objets de guerre plus développés, principalement car eux étaient familiers avec la chasse, ainsi qu'ils développaient principalement car eux. Ainsi qu'ils arrivèrent sur le territoire des héros Wendat, les Iroquois n'avaient presque aucun moyen de se défendre, non seulement car ils avaient moins d'équipement de guerre, mais aussi car ils ne recevaient plus rien des autres nations, donc ils étaient appauvris. Faibles et incapables de se battre. De plus, cette embuscade les avait pris par surprise et ils ne s'y adortaient pas. Ils n'avaient absolument rien prévu et maintenant ils ne pouvaient plus faire marche arrière. Cette nuit-là, Paco était vulnérable. Comme toute sa nation, les Algonquiens avaient débarqué dans leur secrété, le ciel était recouvert d'étoiles qui sentiaient de mille feux, le ciel était d'une beauté imaginable. C'était une nuit de pleine lune, la plus belle qu'il n'ait jamais vue. Ils se croyaient dans un rêve, car tout était trop beau pour être réel. C'est lorsqu'ils contemplaient le ciel et à la fois la lune qui semblait être un dessin tellement elle était parfaite, que les ennemis débarquèrent. Ils étaient armés, animés par la rage et remplis par la soif de prendre le contrôle de ce territoire. Rien ne pouvait les arrêter. Le village n'avait aucun choix, aucun avantage. La seule chose qu'ils pouvaient encore faire, c'était se battre pour sauver ce qui leur appartenait, du moins ce qui leur restait. Néanmoins, Paco fut clairement le héros de cette nuit, car il fut ce qui sauva tout son village. En effet, Paco s'était transformé cette nuit là, pour la première fois depuis son rituel chamanique. Ses attributs étaient de déployer sa force, sa vitesse, ainsi que ses super pouvoirs qui lui permettaient de voler et d'attriper ses ennemis, ensuite de les égorger avec ses griffes pointues. On l'a donc considéré comme le vrai héros de cette fameuse nuit. Sans Paco et la transformation, le village aurait tué, il aurait continué à pérer dans cette horreur. Cependant, cela n'empêcha pas le fait. Ce fut une nuit sanglante. Les Iroquois perdirent tant d'individus chers pour eux. Famille, amis, amour, rien n'allait plus l'être comme avant. Après cette battue pendant des heures et des heures, allant jusqu'à l'épuisement total, tous ces morts, tous ces assassinats, toutes ces pertes les avaient fait garder leur territoire. Cependant, ils avaient gardé leur territoire, mais cela ne valait pas trop le coup, voyant tout ce qu'ils avaient perdu en échange. Ça aura pris plusieurs jours, semaines et même mois pour que tout redevienne comme avant, ou du moins, tout ce qu'il pouvait en redevenir. Désormais, le fleuve avait repris son niveau habituel. Les échanges économiques avaient repris leur cours et ils tentaient d'oublier le traumatisme qu'ils avaient vécu. Cette nuit-là fut si traumatisante qu'on lui donna même un nom. La nuit meurtrière. Ils ont pris du temps de choses, leur maison longue, des membres de leur clan, des membres du village. Toutefois, il y a une chose qu'ils ont appréciée à cette horreur. C'est qu'il faut toujours être à l'affût, qu'à au calme et avoir une longueur d'avance tout en contrôlant la situation. Car nos ennemis sont parfois juste sous nos nuits et prêts à débarquer quand ils attendent le moins.