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interview Anelga Arslanian

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Amelia Arslanian, founder of the Arslanian Foundation, discusses their support for displaced people from Caravache. They organize Christmas sales to raise funds and this year they were able to use the Montesquieu and Chorère premises in Brussels. They provide concrete support to families in need, such as financial assistance and finding housing. They also support other minorities, offering assistance based on individual needs. The foundation aims to ensure the continuity of the Armenian diaspora and improve the lives of Armenians in Armenia. They have a project called "One Tractor, One Village" to help rural areas. They hope to receive support from the European Union's funds for their projects. They organize a raffle and encourage donations to support their work. Amelia thanks everyone for their support and expresses her gratitude for the warm response they have received. Bonjour, aujourd'hui nous avons le plaisir d'être au marché des Noëls de la Fondation Arslanian avec madame Amélia Arslanian, bonjour et bienvenue sur Belguerre. Bonjour, merci de m'interviewer. Alors Amélia, ça fait quand même quelques années que vous organisez des événements en soutien aux déplacés essentiellement du Caravache. Oui. Les ventes de Noël sont organisées depuis notre troisième année. Et cette année, nous avons eu la chance géniale de pouvoir bénéficier des locaux de Montesquieu et Chorère qui sont leur salle de réunion au rez-de-chaussée d'un bâtiment au plein centre de Bruxelles avec une jolie vitrine. Et donc cette année, non seulement les amis et la famille sont venus faire la sortie de la chambre, mais nous avons eu plein de passants et donc on a eu de très belles rencontres. Et dites-moi, d'abord on va te présenter peut-être Montesquieu et Chorère. Est-ce qu'ils valent la peine d'être présentés, je pense ? Absolument. Alors Chorère, c'était ma prof d'arménien il y a quelques années jusqu'à ce qu'elle travaille avec la Fondation Ghanoush depuis 20 ans et qu'elle doit tellement quitter qu'elle ne peut plus nous aider. Et Montesquieu c'est architecte et il emploie 2-3 personnes arméniennes. Ils communiquent entre eux en arménien. Leur ordinateur fait tous les lettres arméniennes. Le tableau qui est dans leur terre arséniaque, c'est avec des annotations en arménien. C'est incroyable. Et voilà. Et pour nos auditeurs francophones et purement francophones, ils parlent parfaitement la langue française également et l'anglais et l'arabe. Évidemment, évidemment. Ok, parfait. Oui, je vais laisser la petite parenthèse. Le travail de la Fondation Arslanian est assez spécifique et extraordinaire. Est-ce que vous avez des amis généralement ou plutôt des amis isolés ? Personnellement, moi et ma fille, on s'est intéressés au projet APA, Aide pour l'Arsa, Aide pour l'Arménie, pour ne pas vouloir mentionner Arsa, pour ne pas baisser certaines institutions politiques. Et donc on a commencé en 2011. On a été sensibilisés à tous ces déplacés. On a voulu trouver des parrains pour nos amis belges, en particulier, pour soutenir ces familles qui étaient vraiment démunies. Il fallait trouver le logement, obtenir ce logement, parce qu'évidemment, c'était pas évident. Ils avaient vraiment tout perdu, leurs métiers, les études. Ils ont pas été où ils en étaient. Et donc, notre particularité, je veux dire, c'est de vouloir être très concrets. On prend de l'argent, on leur donne 100, qui dépendent impropres. C'est souvent un compte en banque de famille. On s'est présenté. Personne n'en faisait pas. On a été avec eux. À chez la banque, des fois, de rouvrir le compte. Donc, ils reçoivent tous les mois 50 000 femmes. Ça leur permet de payer pour la plupart de leur année et de leur donner un compte de diversité pour le reste. Et comme on les paye au moins une fois par an, et pas deux ou trois, on voit quels sont leurs besoins. Il y a des soins à en faire. Il y a des minérales d'université à payer. Il y a des appareillages orthopédiques à venir. Et alors, on essaie de trouver aussi un moyen pour les autres minorités. Donc, ces femmes qui sont seules, qui doivent garder leurs enfants, la plupart en davage, on essaie de trouver quelque chose qu'elles préfèrent à donner. C'est l'endavage de lapins, des abeilles, ou bien encore les formations spécificiennes. Elles ont besoin d'avoir une voiture, de l'étude nature, etc. Un peu au cas par cas. Vous voyez qu'elles sont plus ou moins intelligentes. Je ne dis pas riches, mais plus ou moins intelligentes. Elles arrivent plus ou moins à s'en sortir. On les fournit des programmes et on en prend d'autres. Malheureusement, elles sont encore là. Et vous les connaissez tous ? Absolument. Maintenant, on a pris l'habitude. On correspond par WhatsApp ou par téléphone. Comme je dis, on va les voir minimum une fois, si pas deux ou trois. On connaît les prénoms. On joue avec les enfants. On les amène au projet de société. On ne fait pas d'écriture en partie. C'est souvent des jeux de mémoire, de rapidité, etc. C'est très ludique. C'est aussi des jeux qu'on peut jouer entre grands-parents jusqu'à toutes les générations confondues. Voilà. On les connaît bien. Moi, je suis sûre que l'argent parvient au bon endroit. Pour les parents qui le souhaitent, ils peuvent correspondre avec leur famille. On traduit leurs lettres. C'est très chaleureux. C'est très humain. On peut dire que ça peut vous assurer la continuité de la diaspora arménienne qui soutient toujours sa population en cas de déplacement, de massacres, de pogroms, comme on a eu à l'époque. Nous, en tant qu'Arméniennes de la diaspora, notre pays est important. C'est important que les Arméniens restent en Arménie. C'est pour trouver un travail, un avenir. La plupart d'entre eux, leur pays, cette migration génocide blanche, comme on dit, n'arrivait pas. Donc, économiquement, ils ne s'en sortaient pas. Donc, si on leur trouve un travail, d'ailleurs, un autre de nos projets, c'est le projet « Un tracteur, un village ». Je pense qu'on s'est rendu compte qu'il y avait, surtout dans la province de l'Europe, c'était fondamental, c'était extrêmement fort. Les terres n'étaient pas très suivies. En totalité, en tout cas, par manque de moyens, des outils. Donc, en se rendu compte qu'un tracteur, ils arrivaient à plus s'utiliser, à s'en sortir. Donc, les jeunes ne partaient pas, restaient. Au fait de rester, ils font des familles. Au fait d'avoir une famille, il y a des écoles. Voilà, ça redonne vie à tout un village. Et je pense que c'est important. Les zones rurales sont très, très pauvres. Donc, quand on compare à Yerevan, vous voyez des entre-parenthèses qui ont évolué très rapidement. Très rapidement. C'est ça ma question. Et dans le futur, qu'est-ce que vous souhaiteriez pouvoir en faire de plus ? Dans le futur, du coup, parce que justement, il y a un patient qui s'est avéré être un ambassadeur de la Commission européenne à Yerevan, et qui m'a fait comprendre qu'en fait, la communauté, l'Union européenne, a des fonds qui lui sont prévus aux bons projets. Et donc, je pense que le projet d'un tracteur dans un village, je peux ne m'expliquer pas vite, parce qu'on peut se faire vite. Tracteur d'une ville dans une cité, c'est un bon projet à l'octombre. Et puis, je me suis dit, moi qui ne suis pas très dans la politique, je vais m'appeler à la tâche, je vais demander de l'aide à droite à gauche, et voir ce qu'ils pourraient faire. Ça vaut la peine d'avoir les fonds de la Commission européenne. Et là, on peut profiter du passage à la radio pour demander à nos auditeurs de vous faire signe. Absolument. Voilà. Si on peut m'aider dans toutes ces démarches, parce que c'est très varié pour moi, j'ai du connaître rien. Et donc, tout aide est la bienvenue. N'hésitez pas à envoyer un message soit à la Fondation Inflammion, soit à Belgaray, on sera ravis de faire les relais. Et vous organisez encore un deuxième génome. Une tombola. Ah oui, absolument. Donc, il y a la main innocente de ma petite-fille, qui suit après neuf jours de vente ici, de l'Amur, qui ne boit pas de coca. Qui ne boit pas de coca, ce dimanche, pendant que l'école vend moins. C'est ça. Elle va tirer au port le jeu gagnant, et voilà, on va lui offrir un magnifique plateau en céramique pour clôturer notre vente, que nous continuons d'ailleurs, par ailleurs, au Parlement demain. Nous sommes acceptés au Parlement, grâce à Anaïs. Donc, il y a tout ça, des bonnes dames qui nous aident de tous les côtés. C'est fantastique. Et alors, du coup, on va vous retrouver avec vos fans, demain, au Parlement européen. Mais, justement, tout n'est pas ouvert à tout le monde. C'est tout. Les membres de la Commission du Parlement, du Conseil, n'hésitez pas à vous y rendre. Un petit plein d'oeil à Virginia. Et aussi, on vous retrouve la semaine prochaine pour les billets de Tongola. Ah oui, au magasin pour toi. Oui, oui. Le magasin pour toi, c'est toujours à la ville qui se situe près du salon, rue de Nîmes, à trouver une idée que je trouve très sympathique et intelligente. En organisant les Tongolas, bénéficiera chaque personne qui offre 15 euros à la Fondation aura un ticket possible pour gagner un beau collier en diamant. Donc, n'hésitez pas à envoyer chacun 15 euros ou 30 euros, 45, on n'hésite pas à continuer exponentiellement, 550 et encore plus, à la Fondation Arclanian. Vous pourrez trouver tous les détails sur le site web de la Fondation Arclanian. arclanianfoundation.org arclanianfoundation.org et donc, n'hésitez pas, et puis, on est déjà là, parce que vous aurez un très, très joli cadeau. Et le petit mot de la fin. Qu'est-ce que vous aimeriez partager avec nos visiteurs? Moi, je voudrais simplement dire merci à tout le monde. Merci à toute l'aide qu'on m'apporte avec toutes ces belles rencontres, ces beaux sourires. On se sent soutenus et je sens que tout le monde est intéressé. Je viens de me poser des questions. J'ai rencontré des étrangères qui avaient passé des vacances en Arménie. L'une avait fait un trekking, l'autre y avait été trois fois. Je trouve que c'est tellement chaleureux, ça me fait chaud au cœur. Merci beaucoup. Et on vous souhaite une très bonne origination. Et donc, n'hésitez pas, arclanianfoundation.org, vos dons, vos idées, votre soutien, que ce soit logistique, administratif, peu importe. Donc, n'hésitez pas. Merci beaucoup. Merci. Et à bientôt. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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