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témoignage 4 Allier

témoignage 4 Allier

Céline GUEGUEN

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François Ravier, a collection director at Flemseuil editions, discusses his relationship with Grégory and their decision to work together. He also talks about his acquaintance with Douglas Harper and his plans to buy Harper's new book project. Ravier mentions inviting a popular influencer to the event, who was surprised to sit next to Langlois. The conversation then shifts to the exchanges between the guests and Ravier, including his discussion with Harper about a contract. Ravier criticizes Grégory for leading the influencer on and discusses Meryl's inappropriate behavior. Ravier confirms the dispute with Grégory but criticizes him for leaving to start an independent edition. Ravier states that he did not leave his seat during the confrontation and emphasizes the importance of promoting books and authors rather than fighting. Enregistrement interrogatoire, François Ravier, directeur de collection aux éditions Flemseuil. Question numéro 1. Comment vous rencontrez la décennie ? Grégory et moi, on bossait ensemble depuis des années. Il se fait un vrai coup de cœur. Ce gars, il avait une plume en or. Bon, faut dire qu'il nous a raconté... Permis de rembourser des millions, mais voilà, c'était un type qui avait des idées, du talent, bref. Il savait où il allait et nous, on a accepté de le suivre. Le fait que ce soit moi qui l'ai découvert, je dois bien avouer que ça m'a bien arrangé comme affaire. J'ai pu gagner pas mal de sous. Question 2. Comment connaissiez-vous les autres invités ? Alors Douglas Harper, j'ai bossé avec lui et j'avais l'intention de lui racheter son nouveau projet de bouquin. C'est un type, il a un ego surdimensionné, mais vraiment, pour la finance, c'est un as. Il sait où il va, il sait ce qu'il y a à faire, il sait ce qu'il y a à dire. Il est impressionnant, le gars. La petite jeune, c'est moi qui ai décidé qu'elle allait venir. Une boostagrammeuse qui parle de notre maison d'édition, c'est toujours super intéressant. Elle a été charmante, elle a été hyper surprise de s'asseoir à côté de Langlois et c'est surtout du tourment qu'a pris la soirée. Franchement, qui aurait cru que Meryl lui balancerait son verre dans la figure et que surtout Langlois, ce Paul Grégory, finirait la tête dans son assiette ? Personne, personne, personne. Ouais, Meryl, j'ai travaillé aussi un peu avec elle. Elle a co-signé un ouvrage de photos sur la guerre au Kazakhstan. Une femme géniale. 3. Quelle a été la teneur des échanges entre les invités et avec vous ? Ouf, là, on aborde un thème un peu plus délicat. Avec Douglas Harper, on a parlé de son projet contrat, tout s'est bien passé. Grégory, on voit qu'il menait la petite en bateau. Franchement, lui faire croire qu'il allait écrire un livre sur les réseaux sociaux, c'est n'importe quoi. Et qu'elle, elle écrit, ça ne m'étonne pas. Vous savez, c'est jeune, il croit vraiment tout ce qu'on leur dit. Et après, Meryl a abusé, clairement. 4. Les autres témoins font allusion à une dispute. Qu'est-ce que vous pouvez nous dire là-dessus ? Ah oui, la dispute. Effectivement, avec Grégory, ok, on s'est clairement engueulés. Mais en même temps, il nous a fait un coup, mais ça ne se fait pas. Ça fait des années qu'on travaille ensemble. On lui négocie une avance sur droit de plus de 300 000 euros. Et M. Fiedler a fait la fin de bouche pour partir avec une édition indépendante. Mais c'est n'importe quoi. Il s'est pris pour ce qu'il n'était pas, en fait. Il voulait aller sauver le monde ou je ne sais pas quoi. Il voulait faire de l'édition qui rapportait moins à des grands, à des gars qui seraient soi-disant impliqués dans les Morning Papers. Mais en fait, il n'en sait rien. Il raconte n'importe quoi. Enfin, il racontait, puis à son âme. Question 5. Avez-vous quitté la table ? Ah non, moi, je n'ai pas bougé de là où j'étais. Le chef de ma société est venu s'asseoir à côté de moi. Bon allez, oui, je me suis déplacée pour pouvoir entreprendre la discussion. Il voulait calmer un peu tout ce petit monde. Et moi aussi, de toute façon, on n'a rien à gagner à disputer. Faire vivre nos livres, faire vibrer nos lecteurs, faire connaître nos auteurs. On n'est pas là pour se taper dessus.

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