antoine

Laetitia Antoine discusses the importance of students choosing subjects they are interested in to be more engaged. She questions the lack of regulation and the opinions of teachers, parents, and students themselves. She also mentions the importance of lifelong learning and acquiring practical skills beyond traditional subjects. She raises questions about whether young people are aware of this and if employers are willing to provide training. She highlights the changing job market and the impact of artificial intelligence. She criticizes the influence of older generations on decision-making and suggests that young people are not actively engaged in society. She questions the generalization about older people being resistant to change and suggests motivating young people instead of blaming older generations. The debate's key issues include youth voter abstention and how to encourage greater participation. Copie de Laetitia Antoine, voie n°6, termina l'expression orale. Comme elle a annoncé, donc, pour vous, les étudiants, les élèves devraient choisir des sujets qui les intéressent à l'école pour être plus engagés. Je ne comprends pas vraiment tout ce que vous dites, vous vous répétez et c'est, et la prononciation je ne comprends pas trop, mais vous dites que donc il faut qu'ils choisissent en matière plutôt que ce soit d'autres qui choisissent pour eux. Voilà, et ça s'arrête là, donc malheureusement, il n'y a pas vraiment de réglementation. Vous dites juste votre avis personnel sans aller au bout du sujet. Quel matière doivent-ils choisir ? N'y a-t-il pas des matières fondamentales qui devraient rester quand même obligatoires ? Qu'en pensent les enseignants ? Qu'en pensent les parents ? Qu'en pensent les élèves eux-mêmes ? Voilà, beaucoup de sujets qui arrivent pas abordés. Deuxièmement, vous dites qu'effectivement, l'apprentissage ne s'arrête pas après l'école et qu'on continue à enrichir ses compétences tout au long de la vie. Alors, vous abordez des sujets comme la cuisine et vous dites qu'on apprend à survivre, ce qui est un peu maladroit. Vous dites que la vie ne s'arrête pas après l'école et qu'on apprend d'autres choses que les maths, les sciences, la physique. Donc là encore, la production est très brève et peu de règlements sont développés. Vraiment, il faut aller plus loin en termes de compétences pratiques que l'on peut acquérir tout au long de la vie. Il n'y a pas que la cuisine et c'est quoi survivre exactement. On peut aussi enrichir ses compétences, même professionnelles ou même des connaissances théoriques à travers des tutos, à travers des cours en ligne, aussi des formations, des stages, voilà. Donc, est-ce que les jeunes d'aujourd'hui sont conscients de ça ? Est-ce qu'ils sont prêts à se former davantage ? Les employeurs, que recherchent-ils chez leurs employés ? Sont-ils prêts aussi à former leurs futurs employés ou pas ? Qu'en est-il de l'état du marché du travail ? Est-ce que c'est un enjeu important aujourd'hui ou pas ? Et pourquoi est-ce que c'est au cœur de notre société qui évolue rapidement et dont certains métiers sont menacés notamment par l'infection artificielle ? J'allais renoncer, n'oubliez que pour vous, ce n'est pas une bonne chose que les personnes les plus âgées soient celles qui votent le plus et qui décident du coup pour les plus jeunes. Car vous dites que certaines restent bloquées dans le passé, ils n'assistent pas à l'évolution des sociétés. Attention, on vous dit deux fois « they don't grow » ou « they don't want to grow », attention, je laissez grandir. Quand on parle de personnes qui sont déjà très âgées, je pense que ce n'est pas le terme adapté. Donc, vous dites qu'en conclusion, elles restent bloquées dans le passé, elles ne veulent pas évoluer. Là encore, la production est hésitante, assez foule en termes d'alimentation, je ne sais pas où est-ce que vous voulez nous mener. Il y a très peu d'éléments qui sont donnés. Qu'est-ce qui vous permet d'affirmer que les personnes âgées sont bloquées dans le passé, comme vous dites, et qu'elles ne veulent pas évoluer ? Est-ce que ce n'est pas une généralisation ? Est-ce que les jeunes ne sont pas finalement peu engagés dans la société d'aujourd'hui, vu qu'ils votent très peu, et on peut donner les chiffres d'ailleurs, ça serait intéressant. L'abstention est record en France, notamment chez les jeunes. Pourquoi ? Qu'est-ce qu'il faudrait faire pour les motiver davantage ? Est-ce que ce n'est pas plutôt une incitation à les jeunes qu'ils voudraient faire plutôt que pénaliser et blâmer les plus anciens ? Voilà les enjeux du débat. Malheureusement, ça reste encore à développer, car ça n'est pas fait dans votre production, et ça reste trop superficiel en termes d'alimentation.