Details
Nothing to say, yet
Details
Nothing to say, yet
Comment
Nothing to say, yet
The student's oral presentation discusses the theme of Reality and Affection and how it is difficult to distinguish between truth and fiction, especially with the spread of fake news on social media. They compare fake news to a virus, highlighting its negative impact on society, including public health. They mention that platforms like Twitter and Instagram have started removing content related to fake news, but the student disagrees with this approach. They emphasize the importance of discerning fake news and advocate for prevention efforts by various stakeholders, including platforms, governments, educators, and individuals themselves. While the arguments are coherent, there are some errors in pronoun usage and pronunciation. Overall, the presentation is understandable and satisfactory. Copie de Shetaf Ilyan, Devoir d'anglais n°1, terminale, partie expression orale en continu. Alors, au niveau de l'introduction, vous présentez bien le thème, Reality et Affection, de façon simple mais correcte, ce qui nous permet ensuite d'aborder les différents documents. Vous avez donc choisi de sélectionner le document A pour mieux illustrer le thème, Reality et Affection. Vous présentez le document, nature, source et ce que cela représente. Vous faites ensuite référence au fait qu'il est difficile aujourd'hui, à l'ère du numérique et du digital, de discerner le vrai du faux, donc la réalité de la fiction, ce que l'on peut croire et ne pas croire, les fameuses fausses informations, les fake news qui se propagent de plus en plus, notamment via les réseaux sociaux, très rapidement et à un grand nombre de personnes. Donc, il est difficile aujourd'hui de faire la différence entre ce qu'on peut croire ou pas. Et notamment, les personnes qui diffusent ces fausses informations jouent en effet sur la sensibilité et l'émotion des personnes qui s'en amènent de les lire. Donc, vous faites bien référence à ces aspects de fausses informations et qui jouent notamment sur le fait de l'aspect des communautés, des réseaux sociaux. On croit que l'on voit et c'est partagé par ses amis. On peut insister un peu plus sur la comparaison entre fake news et virus. Les fausses informations sont vraiment des virus, tout autant que le coronavirus était un virus, on va dire, plutôt médical. Les fausses informations sont un virus au sens imagé, figuratif, mais qui est comme une maladie qui se répand effectivement dans la société. Et de fait, c'est tout aussi effrayant. Vous dites ensuite que certains réseaux, tels que Twitter et Instagram, ont choisi de supprimer certains contenus qui pouvaient prêter à la confusion et se rapporter à des fausses informations, ce qui peut quand même paraître logique, voire une bonne idée, alors que vous dites que pour vous, c'est dangereux. Et là, j'avoue que je ne comprends pas trop votre point de vue et vos arguments là-dessus. Ok, vous insistez bien sur le fait qu'il est important de discerner les fausses informations, et que ça peut être quand même dangereux de croire n'importe quoi. Mais vous ne parliez pas, vous auriez pu évoquer notamment le fait que le document de la 2020, les protestations dans la rue qui se sont produites un peu partout dans le monde, dans tous les pays du monde qui ont été touchés par ce phénomène de rebelles qui se rebellaient contre les autorités et contre les fausses informations également. Et là, on pouvait enquiller sur le fait que ça a des conséquences très négatives sur la santé publique. On se rappelle qu'en 2021, avec toutes les fausses informations qui circulaient, les gens ne se sont pas vaccinés, ne se sont pas protégés. Il y a eu plusieurs morts à cause de cette maladie, et donc les conséquences ont été extrêmement graves. Donc les fausses informations sont vraiment un virus qui peut être nocif, voire mortel, et très, très impactant en termes de conséquences de santé publique. En conclusion, effectivement, il est important que tout le monde soit conscient des dangers des fausses informations, et ça nécessite de la prévention de plusieurs acteurs, donc effectivement les plateformes, les réseaux sociaux, mais également le gouvernement, les États, les enseignants, l'éducation, et les gens eux-mêmes qui doivent vraiment maintenant s'éduquer par eux-mêmes et faire attention à ce qui vit sur les réseaux. Voilà, vos arguments sont assez corrects, mais peuvent être développés, mais le tout reste cohérent. En termes de langue, il y a plusieurs erreurs de pronoms. Attention, quand on parle d'un objet ou d'une chose, à ne pas dire « who », mais plutôt « which » ou « that ». Pareil, on ne dira pas « he », ce n'est pas une personne, c'est un objet, donc par exemple « a fake news » ou « a piece of fake news », « it's not he ». Globalement, sinon, la prononciation est correcte, compréhensible, et plutôt fluide. Attention également à votre prononciation du mot « idea » et pas « idea ». Attention, c'est un mot qui revient souvent et qui est assez basique, donc travaillez là-dessus. Mais le tout est assez correct et satisfaisant.