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The transcription discusses the issue of anti-vaxxers spreading false information on social media and the challenges of countering this propaganda. It mentions the fear and mistrust some people have towards vaccines and the detrimental effects of the anti-vaxx movement, particularly during the COVID-19 pandemic. The transcript suggests that social media platforms and governments should take action to prevent the spread of misinformation, and individuals should be more critical of the information they encounter online. The argumentation in the speech is deemed understandable and correct, although it is suggested to focus more on the topic at hand and avoid going into unnecessary details. Overall, the production is considered acceptable but could be further developed and strengthened. Copie de Helena Sliwa, devoir d'anglais n°1 de niveau terminale, partie expression orale en continu. Alors, en introduction, il faut commencer par présenter l'axe à étudier, Realtime Fiction, et pas directement les documents. Donc, vous commencez par le document B, qui est issu de la BBC, effectivement c'est un document qui illustre un émoji carotte dans une seringue, et le message est que, effectivement, les antivax essaient de propager leurs fausses rumeurs et leurs fausses informations sur les réseaux sociaux pour atteindre un large public. Donc, vous revenez un petit peu sur l'histoire des antivax, qui ont effectivement toujours été présents et ont toujours existé, et donc, effectivement, cela provient d'une certaine peur de ce que peut contenir le vaccin, la peur des effets sur leur santé. Donc, je vous dis que c'est dommageable car, pour contrer les maladies, il faut vacciner plus de monde possible, donc les convaincre, afin qu'il y ait une immunité globale. Et donc, cette propagande aussi des antivax se fait d'autant plus que, maintenant, les gens sont quasiment, comme vous dites, accros, addicts à leurs téléphones et aux réseaux sociaux. Donc, c'est d'autant plus facile pour les antivax de propager leur propagande. Et d'ailleurs, les organisations mondiales de la santé ont déjà alerté les réseaux sociaux sur le fait d'agir contre cela. Donc, comme les antivax ne veulent pas se faire repérer sur les réseaux, ils utilisent d'autres présagèmes, tels que l'émoji carotte, par exemple, au lieu de parler du vaccin. Et donc, vous rappelez que ces antivax manipulent les informations et, finalement, manipulent les gens sur les réseaux. Donc, votre production est compréhensible et correcte en termes de langage. Il n'y a pas d'erreur particulière. La prononciation est assez fluide et correcte, compréhensible. Par contre, en termes d'argumentation, vous vous perdez un petit peu dans les détails qui sont hors-sujet, tels que l'histoire des vaccins et des antivax. Certes, c'est correct, c'est important de revenir là-dessus, mais c'est un petit peu trop long et ça n'a pas une place aussi importante dans votre production, ça ne devrait pas. Donc, revenez bien surtout sur les antivaccins et leur propagande sur Internet et sur les réseaux qui se propagent très vite. Ils trouvent toujours des stratagèmes pour faire passer leur message. Donc, ils sont quand même très malins. Les réseaux sociaux sont assez impuissants face à ça. Ils ont essayé de mettre en place quelques outils, mais ce n'est pas… il est très effectif, très efficace. Vous parliez de l'OMS aussi, c'est bien d'en parler. N'hésitez pas aussi à rappeler que, du coup, les conséquences sont très négatives, ont été très négatives pour la pandémie de COVID, car les antivax ont instillé le doute et la peur chez les gens qu'ils n'ont pas été vaccinés et beaucoup sont morts, des millions de morts sont dans cette maladie. D'autres l'ont attrapé, d'autres ont eu des conséquences très négatives pour la santé. Donc, voilà, ça a quand même eu des… ça a fait des dégâts très importants en termes de santé publique. Et donc, face à ça, il faut faire de la prévention. Qui peut faire cette prévention ? Donc, les réseaux sociaux, on l'a vu, essayent de mettre en place des outils, mais ils sont toujours détournés. Est-ce que les gouvernements, les États peuvent agir ? Est-ce que les entreprises aussi, l'éducation à l'école, est-ce qu'il faut peut-être inciter davantage sur ça, faire de la prévention chez les jeunes ? Mais aussi, les gens eux-mêmes doivent s'éduquer et faire attention à ce qu'ils disent sur les réseaux, être vigilant, ne pas tout croire, car beaucoup de choses sont erronées. Donc, voilà, votre position est correcte en termes de normes. L'argumentation reste avant tout à être développée et étossée pour être encore plus convaincante.