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Tetiana Stupina, a well-known athlete, discusses the importance of mental health in athletes. She highlights the hidden pressure they face and the stigma surrounding discussing their problems. This not only affects their mental well-being but also their performance. Stupina calls for an end to silence and the promotion of empathy and support. She suggests providing resources and organizations to help athletes and emphasizes the need for allies. While her arguments are clear and coherent, more details and examples are needed to strengthen her points. Copie de Tetiana Stupina, devoir d'anglais numéro 4, expression orale, niveau second. En introduction, vous vous présentez, donc vous dites que vous êtes une athlète, donc d'athlétisme aussi, assez connue, que vous êtes mondialement connue, mais que la chose qui vous tient à cœur aussi, dont vous voulez parler, c'est la santé mentale chez les athlètes. On vous dit que c'est un combat souvent méconnu, on peut montrer, assez caché, sous la pression des athlètes. On a souvent une image un petit peu idéale des stars, des spotlights, comme vous dites, mais en fait, ils subissent beaucoup de pression. Il faut bien se rendre compte que les athlètes, effectivement, ont une pression importante. Ils doivent réussir pour eux-mêmes, pour leur équipe, pour leur nation. Chaque victoire, mais chaque défaite aussi est analysée, et donc le fait de parler de ses problèmes peut être vu comme une faiblesse. Beaucoup préfèrent donc souffrir en silence, mais les conséquences sont profondes, notamment des problèmes de dépression et de mal-être. Mais ce n'est pas que psychologique, donc attention, ne prononce pas le P, psychological. Ça a aussi des conséquences sur les performances des sportifs. Donc, on doit mettre fin au silence, promouvoir une culture de l'empathie et de l'entraide. Donc, il faut aider les athlètes en leur donnant accès à des ressources, des services, des organisations qui peuvent les aider. Il faut qu'on ne soit pas que spectateurs, mais vraiment des alliés. Et vous terminez en disant qu'effectivement, ensemble, on peut agir pour faire du monde du sport un monde meilleur, et on prend en compte la santé mentale des athlètes. Donc, reproduction est vraiment assez claire et cohérente. La langue est correcte, assez soignée, il n'y a pas d'erreurs. Donc, quelques toutes petites erreurs sans importance. La langue est fluide. Les arguments sont corrects et cohérents, mais on peut aller plus loin et donner plus de détails. Vous parlez de mesures pour aider les athlètes, quelles sont-elles ? Qui peut agir concrètement ? Est-ce que ce sont des instances nationales, internationales ? Quelles associations, quelles communautés sont présentes ? Et puis aussi donner des exemples plus présents, plus concrets, pardon, de sportifs, par exemple, qui ont peut-être, qui commencent à parler de ces problèmes de santé mentale. On voit aussi que c'est le cas, notamment chez les femmes, dans le monde du tennis, de la gym, par exemple, où il y a quand même des voix qui se font entendre. Donc, il serait utile et pertinent de prendre des exemples plus précis et concrets de sportifs ou sportives qui commencent à parler de ce problème de santé mentale. Et est-ce que ça a un impact concret aujourd'hui ? Est-ce qu'il y a des actions qui se mettent en place suite à ça ? Est-ce que tout est aussi noir ou est-ce qu'il y a quand même un petit peu d'espoir ? Il faut préciser.