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Παρίσι Αθήνα - Δεκαετία '60 (18-11-95) Α΄ μέρος

Παρίσι Αθήνα - Δεκαετία '60 (18-11-95) Α΄ μέρος

Irene Nikolopoulou

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Διαβάστε τη ραδιοτηλεόραση και χαρίστε στον εαυτό σας γούνες και δερμάτινα. Η ραδιοτηλεόραση και η γουνεμπορική σε μια άνευ προηγουμένη προσφορά προς όλους τους αναγνώστες της. Από αυτή την εβδομάδα αρχίστε να μαζεύετε τα δώρο 10.000 για να αποκτήσετε τη γούνα ή το δερμάτινο που ονειρευτήκατε από τα 5 καταστήματα της γουνεμπορικής. Το όνειρο των Χριστουγέννων. Για την υπερτυχερή αναγνώστρια μια γούνα βυζον σάγκα αξίας 1.350.000 δραχμών και για τριστηχενές αναγνώστρειες διάφορες γούνες και άλλα δερμάτινα. Πάρτε μέρος στην κλήρωση. Ακόμα σε αυτό το τέσκος της ραδιοτηλεόρασης η Λιάνα Κανέλλη απαντά στους επικριτές της για συμβολίκρωτη συνέντευξη. Η ραδιοτηλεόραση το τριπλό περιοδικό κάθε εβδομάδα με το ραδιοδρόμιο. Τις ξένες λόσες και μέσα πάντα στα πράγματα. Παρίσι Αθήνα, πτήση Κονκόρτ, Σάββατος τις 8 το βράδυ, προορισμός στο γαλλικό τραγούδι. Ενδιάμεση σταθμή πρωτεύουσης της Ευρώπης για καλλιτεχνική ενημέρωση και φιλικούς. Παρίσι Αθήνα, Βία εραδείο, με πιλότο την Ειρήνη Νικολοπούλου και την κυβερνήτη τη Μαρία Μουρκούς. Είναι μια βραδιά σίξτης, μια δεκαετία που κάποιοι έζησαν, κάποιοι τη γνωρίσαμε στον αποϊχό της και κάποιοι νέοι την ανακαλύπτουν ξανά και ξανά. Γράψτε την απόψινη εκπομπή, τραγουδήστε και χορέψτε, ταξιδέψτε μαζί της. Το φεγγάρι λεπτή φίνα, πορτοκαλή φέτα στον ουρανό. Βραδιάζει νωρίς και συσφέρχεται. Πάτε στο Παρίσι, τους αφήνετε όλους. Αφήνετε όλα πίσω στην Αθήνα. Κάρι Ατσέν, Ανταμό και Χαλιδέι. Φρανς Γκάλ και Σίδη Βαρτάν. Χριστόφ και Ζεοδασάν. Βεκόβ και Ασναβόρ. Αρχίζουμε με τον τραγουδιστή της Αλήν, με τον Χριστόφ που η κωλυξιστική φωνή του ήταν το μάστ στα πάρτι της δεκαετίας του 60. Oh mon amour. Elle a des yeux qui voient la mer à travers la pluie qui descend. Elle fait des rêves où elle se perd entre les grands mirages blancs. Elle ne sait plus le jour ni l'heure. Elle a des larmes au fond du cœur qui lui font peur. Oh mon amour, écoute-moi. Déjà la vie, ça sent la grâce. N'en ai pas peur, il faut le croire. La vie est belle, même sans mémoire. Tu sais, je te raconterai. Avec le temps, tu comprendras. Elle n'entend pas ce que je dis. Et ça me donne un incendant. Je voudrais être ce pays où elle s'en va chercher encore. Dans le miroir de son passé, Je rêve qu'il y ait une prière. Oh mon amour, écoute-moi. Un autre monde, ça sent la grâce. N'en ai pas peur, il faut le croire. La vie est belle et notre histoire peut continuer tant tu voudras. Et tu seras mon devoir. Oh mon amour, ouvre mon cœur. Tu m'entendras pardonner le mal que je t'ai fait. Je ne te quitterai plus jamais. Oui, mes copains, dans mes cheveux, Je vois des soleils dans tes yeux. Dans mes yeux, oh mon amour. Un autre monde, ça sent la grâce. N'en ai pas peur, il faut le croire. La vie est belle et notre histoire peut continuer tant tu voudras. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Un autre monde, ça sent la grâce. Il ne faut pas encore sourire, Quand le meilleur s'est retiré. Et qu'il ne reste que le pire, Dans une vie bête à pleurer. Il faut savoir, coûte que coûte, Garder toute sa dignité. Et malgré ce qu'il nous en coûte, S'en aller, sans se retourner, Face au destin, qui nous désarme. Et devant, le bonheur perdu, Il faut savoir, cacher ses larmes. Je n'ai pas su. Il faut savoir, quitter la table, Lorsque l'amour est desservi. Sans s'accrocher l'air pitoyable, Mais partir sans faire de bruit. Il faut savoir, cacher sa peine, Sous le masque de tous les jours. Et retenir les cris de haine, Qui sont, les derniers mots d'amour. Il faut savoir, rester de glace, Et faire un cœur, qui meurt déjà. Il faut savoir, garder la face, Mais moi je l'aime trop, mais moi je ne le sens pas. Il faut savoir, mais moi, je ne sais pas. C'est l'été qui va faire l'hommage à Hervé Villard, Le célèbre artiste Caprice Fini. Une chanson qui est traduite en sept langues, Et qui est vendue à 4-5 millions d'euros. Hervé Villard, Caprice Fini. Nous n'irons plus jamais. Où tu m'as dit je t'aime, Nous n'irons plus jamais. Tu viens de décider, Nous n'irons plus jamais. Ce soir c'est plus la peine, Nous n'irons plus jamais, Comme les autres années. Caprice, c'est fini, Et dire que c'était la ville de mon premier amour. Caprice, c'est fini, Je ne crois pas que j'y retournerai un jour. Caprice, c'est fini, Et dire que c'était la ville de mon premier amour. Caprice, c'est fini, Je ne crois pas que j'y retournerai un jour. Nous n'irons plus jamais. Où tu m'as dit je t'aime, Nous n'irons plus jamais. Comme les autres années. Parfois je voudrais bien, Te dire en commençant, Mais je perds le courage, Sachant que tu diras même. Caprice, c'est fini, Et dire que c'était la ville de mon premier amour. Caprice, c'est fini, Je ne crois pas que j'y retournerai un jour. Caprice, c'est fini, Et dire que c'était la ville de mon premier amour. Caprice, c'est fini, Je ne crois pas que j'y retournerai un jour. Nous n'irons plus jamais, Mais je me souviendrai, Du premier rendez-vous, Que tu m'avais donné. Nous n'irons plus jamais, Comme les autres années, Nous n'irons plus jamais, Plus jamais, plus jamais. Caprice, c'est fini, Et dire que c'était la ville de mon premier amour. Caprice, c'est fini, Je ne crois pas que j'y retournerai un jour. Caprice, c'est fini, Et dire que c'était la ville de mon premier amour. Caprice, c'est fini, Je ne crois pas que j'y retournerai un jour. Caprice, c'est fini, Et dire que c'était la ville de mon premier amour. Caprice, c'est fini, Je ne crois pas que j'y retournerai un jour. Caprice, c'est fini, Et dire que c'était la ville de mon premier amour. Caprice, c'est fini, Je ne crois pas que j'y retournerai un jour. Tous les bateaux et les oiseaux, On m'ira tous au paradis, Et, physiquement, c'est une poupée Qui fait non, non, non, non, non, la poupée, Qui fait non, la poupée, qui fait non, la poupée, Qui fait non, la poupée, qui fait non, la poupée, Qui fait non, la poupée, qui fait non, la poupée, C'est une poupée Qui fait non, non, non, non, non, Toute la journée, Elle fait non, non, non, non, non, Et elle est tellement jolie Que j'en rêve la vie. C'est une poupée Qui fait non, non, non, non, non, Toute la journée, Elle fait non, non, non, non, non, Et ça ne lui a jamais appris Qu'on pouvait dire oui. Sans même écouter, Elle fait non, non, non, non, non, Sans me regarder, Elle fait non, non, non, non, non, Je dors, je rêve la vie Pour qu'elle dise oui. Pourtant, je dors, je rêve la vie Pour qu'elle dise oui. Mais c'est une poupée Qui fait non, non, non, non, non, Toute la journée, Elle fait non, non, non, non, non, Et ça ne lui a jamais appris Que l'on peut dire oui. Non, non, non, non, non, Non, non, non, non, non, Non, non, non, non, non, Non, non, non, non, non, Non, non, non, non, non, Non, non, non, non, non, Non, non, non, non, non, Non, non, non, non, non, Proto-bravio Eurovision France Gall, Poupée de cire, Poupée de son Je suis une poupée de cire, Une poupée de son. Mon cœur est gravé dans mes chansons, Poupée de cire, Poupée de son. Plus je m'éheure, Poupée de cire, Poupée de son. Plus je m'éheure, Poupée de cire, Poupée de son. Plus je m'éheure, Poupée de cire, Poupée de son. Plus je m'éheure, Poupée de cire, Poupée de son. Plus je m'éheure, Poupée de cire, Poupée de son. Moi, j'entends rire Les poupées de chiffon. Celles qui dansent sur mes chansons, Poupée de cire, Poupée de son. Elles se laissent subir Pour un oui ou un non. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. L'amour est passé dans les chansons, Poupée de cire, Poupée de son. Gilbert Bécaud est le premier chanteur pour lequel les jeunes ont brisé les chaises de l'étage dans lesquelles il s'adresse. Aujourd'hui, il approche les années 70. C'est lui qui a chanté le chanson « Je reviens te chercher ». On l'entend dans « La grande réussite » de 1962. Et maintenant, Gilbert Bécaud. Et maintenant, que vais-je faire de tout ce temps ? Que sera ma vie de tous ces gens qui m'indiffèrent ? Que sera ma vie de tous ces gens qui m'indiffèrent ? Que sera ma vie de tous ces gens qui m'indiffèrent ? Maintenant que tu es partie toutes ces nuits, pourquoi pour qui ? Et ce matin qui revient pour rien, ce cœur qui bat pour qui, pourquoi ? Qui bat trop fort, trop fort. Et maintenant que vais-je faire vers quel néant ? Glisse va ma vie. Tu m'as laissé la terre entière. Mais la terre sans toi, c'est petit. Vous, mes amis, soyez gentils. Vous savez bien que l'on n'y peut rien. Même Paris grève dans mes vies. Toutes ces rues me tuent. Et maintenant que vais-je faire ? Je vais en rire pour ne plus pleurer. Je vais brûler des nuits entières. Au matin je te raillerai. Et puis un soir dans mon miroir je verrai bien la fin du chemin. Pas d'une fleur et pas de pleurs au moment de l'adieu. Je n'ai vraiment plus rien à faire. Je n'ai vraiment plus rien. Je n'ai vraiment plus rien à faire. Le nouveau album est le premier sur le catalogue du Top Off depuis plusieurs semaines. Mais aujourd'hui, nous sommes dans la décennie 60. 27 ans auparavant, le « Que je t'aime » de Three Embers. Comment je t'aime ? Avec la profonde voix d'un rock amoureux avec la passion de Johnny. Comme un soleil d'été et que ton oreiller ressemble aux champs de blé. Quand l'ombre et la lumière dessinent sur ton corps des montagnes, des forêts et des villes où tu n'es pas mort. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Quand ta bouche se fait douce quand ton corps se fait dur quand le ciel dans tes yeux d'un seul coup n'est plus pur. Quand tes mains voudraient bien quand tes doigts n'osent pas quand ta pudeur dénonce une toute seule petite voix. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Quand tu ne te sens plus chat et que tu deviens chienne et qu'à l'appel du loup tu brises enfin tes chaînes. Quand ton premier souffle se finit dans un cri. Quand c'est moi qui dis non quand c'est toi qui dis oui. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Quand mon corps sur ton corps l'ouvre comme un cheval mort ne sais pas, ne sais plus s'il existe encore. Quand on a fait la lutte quand d'autres font la guerre quand c'est moi le soldat qui meurt et qui l'enferme. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. Que je t'aime. En 1966, Salvatore Andamo, un Sicélien qui vivait avec ses parents en Belgique s'est arrêté à Paris. Il interprète le mot Inchallah. Il a 23 ans. Il va à la Jérusalem. Il visite les lieux saints. Il voit la guerre. Il rentre à l'hôpital et écrit le mot Inchallah comme un message de paix. J'ai vu l'Orient dans son éclat avec la lune pour Vannier et je comptais en un quatrain chanter au monde sa lumière. Mais quand j'ai vu Jérusalem Mais quand j'ai vu Jérusalem coquelicots tirent un rocher j'ai entendu un récriem quand sur la lune je me suis penché. Ne vois-tu pas un bleu chapelle toi qui murmures de paix sur la terre que les oiseaux cachent de leurs ailes tes lettres de feu sans gère on dirait. Le chemin mène à la frontière tu voudrais bien remplir ton seau arrête-toi Marie-Madeleine ton corps ne vaut pas l'eau. Inchallah Inchallah Inchallah Inchallah Inchallah Inchallah Inchallah Et l'olivier pleure son ombre sa tendre épouse, son amie qui repose sur les décombres prisonnière en terre d'ennemis sur une épine de barbelé de papillonnettes.

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