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Today, we have the pleasure of hearing from Didier, a general practitioner, who will share his valuable perspectives on the challenges and difficulties of living with Parkinson's disease. Didier has had Parkinson's for 19 years, and while it progresses slowly, it can make simple tasks like dressing and washing more difficult. However, staying positive is important, and having projects and goals can help. The greatest fear for Didier is losing independence and becoming dependent on others, especially being confined to a wheelchair due to muscle weakness. Creating a peaceful and structured environment is crucial for those with Parkinson's, as stress can have a greater impact on them. Maintaining a social life and staying active, both physically and mentally, are also important, but it's essential to avoid excessive activity or anxiety-inducing activities. Aujourd'hui, j'ai le plaisir d'accueillir Didier, qui est médecin généraliste et qui va nous partager son témoignage, précieuses perspectives sur les défis et les difficultés avec la maladie de Parkinson, avec laquelle il vit. Donc, ça fait 19 ans que j'ai un maladie de Parkinson, qui est heureusement évolutive, mais lentement. Le fait de se laver, de s'habiller, de mettre des chaussettes, d'enfiler un pantalon, ça peut commencer à être difficile, mais rassurez-vous, pas du tout au début de la maladie, loin de là. Comment garder le moral, finalement ? Ça, c'est par des projets. Donc, le conseil que je donnerais, c'est effectivement qu'il ne faut pas baisser les bras. Quelles sont les plus grandes craintes que tu as ? La plus grande crainte, c'est la perte d'autonomie et d'être gravataire. Donc, surtout en chaise roulante, parce que diminution de la force musculaire à terme, et donc être dépendant. Donc, c'est ça la pire crainte que j'ai, c'est d'être dépendant. L'important, c'est d'avoir un environnement qui soit apaisant, qui soit structurant, qui ne soit pas stressant, parce que ça a une influence beaucoup plus importante chez les Parkinsonais que chez les sujets non atteints de Parkinson. Continuer d'avoir une vie sociale, une alternative. L'alternative étant de ne pas devoir vivre seul. L'activité est quelque chose d'important, que ce soit au niveau physique ou intellectuel, mais il faut faire attention de ne pas être trop actif et surtout d'activité qui soit anxiogène.