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Kim and Camille, hosts of the podcast "Criminel," introduce themselves and their love for true crime. They share a personal story of how they became friends and discuss their common interest in true crime. They then proceed to tell a spooky urban legend about a haunted house with creepy mirrors. As they narrate the story, they share their own experiences and fears related to mirrors and dolls. The legend ends with the friends escaping the haunted house, but the town continues to hear strange sounds and whispers from the house, reminding everyone to leave certain legends untouched. They conclude the episode and discuss their future plans for sharing true crime stories and more urban legends. Donc, bienvenue au podcast Criminel. Ici Kim et Camille. Donc, aujourd'hui pour notre premier épisode, nous allons avoir une de petites légendes urbaines, mais nous allons commencer par se présenter. Donc, moi c'est Camille, j'ai 21 ans et j'étudie les sciences infirmières à l'UQAC. Et moi c'est Kim, j'ai 20 ans, j'étudie en orthopédagogie à l'UQAC également. Et on n'était vraiment que fans. On est fans finie du true crime. Les deux, on en parle quasiment tous les jours ensemble. Kim et moi, on se connaît depuis notre secondaire 1. Puis depuis le secondaire 1, on parle juste de true crime, puis de soirées en série, puis de creepypasta. C'est vraiment une de nos passions communes. Fun fact, la première fois qu'on est comme devenues amies, c'est que j'ai failli casser le doigt en aidant à Camille en lui lançant un ballon dessus. So, that's nice quand même. Votre information, j'ai encore mis du doigt, donc tout va bien. Ça va bien. Ça va bien. Aujourd'hui, on va découvrir une petite légende urbaine et c'est moi, Kim, qui va la raconter à Camille. Donc, est-ce qu'on est prête? Je suis prête. Ok. Donc, je me mets dans mon personnage. Oh, mon Dieu. Oh, mon Dieu. Les habitants de la ville évitaient la maison des miroirs à tout prix, craignant les légendes qui entouraient son existence. Mais un jour, un groupe d'amis intrépides décida de défier les avertissements et d'explorer la maison pour découvrir la vérité. Est-ce que la vérité, tu penses qu'ils sont vraiment là? Ils vont la découvrir dans ce voyage dans les miroirs sur tous leurs angles? Non, probablement pas. Ils s'aventurèrent dans la maison à la tombée de la nuit, armés de lampes, de poches et de caméras pour capturer leurs aventures. Dès qu'ils franchirent le seuil, une atmosphère glaciale les enveloppa et les miroirs semblaient les regarder avec une intensité inquiétante. Est-ce que tu t'es déjà senti regarder, toi? Souvent. Souvent? Oui. Même que des fois, je vois toujours des hommes passer à côté de moi, je me tourne, je suis comme, oh non, il n'y a personne. Oh my God. Moi, j'ai écouté, je ne sais pas s'il existe encore ce film d'horreur-là, mais c'est un film qui m'a complètement traumatisée. En seconde ou en troisième, le genre que j'ai écouté, ça s'appelle Miroir, justement. Je ne l'ai jamais retrouvé. Je ne me suis pas regardée dans un miroir pendant moins d'un mois quasiment. J'avais vraiment peur. Oui, ça me dit. Je ne l'ai jamais retrouvé. Je te jure. Alors qu'il progressait à travers les pièces sombres et poussiéreuses, les amis commencèrent à ressentir une présence oppressante. Des chuchotements inaudibles semblaient flotter dans l'air et les reflets dans les miroirs semblaient se déformer, révélant des images perturbantes. Soudain, l'un des amis disparut sans laisser de traces. La panique s'empara du groupe alors qu'il tenait frénétiquement de le retrouver. Mais il semblait s'être évaporé dans l'obscurité de la maison. Les autres commencèrent à craindre qu'ils ne subissent le même sort ou non. Alors qu'ils s'enfonçaient plus profondément dans la maison, ils découvrirent une pièce secrète cachée derrière un miroir fissuré. Justement, hier, j'ai brisé un miroir. Oh non, mais c'est que c'était pas de malheur. J'ai essayé. Je voulais pleurer. J'étais allée voir sur Internet quoi faire. Ça devait se pitcher du ciel avec la main droite au-dessus de la peau gauche. Je l'ai fait. Pas pris de chance. J'espère que ça a fonctionné parce que pour vrai, je ne veux pas faire partie de ce contrat. Je n'en ai pas besoin. Donc, qu'est-ce qu'il se cache dans cette pièce? À l'intérieur, ils trouvèrent un vieux livre de sorts et une poupée effrayante aux yeux de verre. Oh, Seigneur! Est-ce que toi, tu as une phobie des poupées? Il y a des gens qui ont fait une de leurs phobies, c'est les poupées. Oui, je comprends. Actuellement, quand j'étais jeune, j'avais eu une poupée reborn, je pense que ça s'appelle. Oh mon Dieu! Aussi, ma voisine, elle me faisait quand même tellement peur. Elle est décédée aujourd'hui. Ne viens pas me choper les pieds pendant la nuit, please. Elle m'avait tricotée, genre cousue, une poupée. Elle me faisait tellement peur. Oui, je comprends. Moi, quand j'étais jeune, j'ai toujours aimé la couture et le bricolage. Avec des morceaux de tissu, du rembourrage et de la laine, je faisais des poupées moi-même. Je faisais des mini-poupées. Je cousais le contour, je les rembourrais, je remettais des boutons pour les yeux. Après, je leur collais de la laine pour faire les cheveux. Elle était vraiment belle. Oh my God! Un peu dans le style Caroline. Oh my God! C'est mon rêve d'en faire. Ce film-là m'a toujours fait peur. Moi, c'était mon film préféré. Je l'ai vu il y a quelques années, il y a quand même 1 ou 2 ans. Je me suis rendu compte que ce n'est vraiment pas un film pour les enceintes. Non, vraiment pas. Il y a un film avec des femmes qui ont des caches femelons. Oui, oui. C'était mon film préféré depuis les 6 ans. Je l'avais demandé à ma mère. On est allé au Sears. J'étais comme, je veux ce film. Comme, je veux. Je l'avais écouté chez mamie et elle me l'avait acheté. En plus, il y avait les trucs 3D, les lunettes 3D qu'ils ont avec. Je capotais sur ce film. À quel point, je ne suis pas sûre que c'est normal à cet âge-là. Mais bon, c'est peut-être que c'est ma passion du truc 3D. Probablement. Probablement. Donc, est-ce qu'on continue? Oui. Ok. C'est alors qu'ils entendirent un rire sinistre résonner dans les couloirs sombres de la maison. Ils savaient qu'ils devaient partir rapidement. Mais avant de pouvoir s'échapper, les miroirs autour d'eux commencèrent à se briser, libérant des âmes tourmentées qui hurlaient de douleur. Terrifiés, les amis s'enfuirent de la maison, jurant de ne jamais y retourner. Mais même après leur départ, les habitants de la ville prétendaient entendre des pleurs et des murmures provenant de la maison des miroirs, rappelant à tous que certaines légendes sont mieux laissées intactes. Fin. Toi, les miroirs, c'est quoi ta relation avec les miroirs? Ben, à part lui que tu as brisé hier. Moi, je suis, tu sais, mettons, j'ai très vraiment depuis toujours, je ne sais pas pourquoi, moi je pense que c'est parce que j'ai dû vivre dans une époque quelconque, genre victorienne, j'ai toujours aimé les miroirs, tu sais, au mur, des vieux miroirs. Oui, c'est beau ça. Mais, je pense que, mettons, certains miroirs, tu sais, ça dégage des énergies et tout, donc, mettons, je n'achèterais pas un miroir dans une brocante ou quelque chose genre, ça me terrifie. Moi, j'ai toujours eu les raisons qu'on pouvait voir les hommes à travers les miroirs, je ne sais pas pourquoi. C'est comme un portage. C'est un genre de portage. Oui, oui, c'est ça, exactement. Je sais qu'il y a toujours eu la légende de Bloody Mary, quand on passait dans la salle de bain au primaire. Oh, mon Dieu. La Bloody Mary. Oui. J'avais tellement peur, moi, de voir Bloody Mary qui poppe en arrière de moi avec ses yeux, puis qui me tue. Oh, mon Dieu. Moi, c'était genre Marie-Noire chez ton bébé. Oui, ça aussi. C'est la mini. Oh, mon Dieu. Mais, c'est vrai, je ne sais pas. Puis, je pense que ça découle d'il y a très longtemps. Il faudrait faire peut-être des recherches là-dessus, mais clairement, je pense qu'il y a quelque chose qui se cache. C'est sûr. Mais, j'ai un witchy vibe depuis toujours. Donc, ça me parle. J'ai bien aimé cette légende redonne. Oui, moi aussi, j'ai bien aimé. Quand même. Donc, voilà. Avec tes commentaires. Je trouve que la conteuse est très bonne. Très bonne conteuse. Merci. Mais, c'est ça. Peut-être la prochaine fois, ça va être moi qui va te raconter une histoire de true crime ou une légende redonne. C'était un test pour voir nos skills. Oui. Voilà. On va voir si on aime bien ça, puis on s'en va écouter tout ça. Bye-bye. Bye, tout le monde. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org