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It's time for fire! The speaker feels that the act of destruction serves as a way of expressing frustration over unanswered demands. The 1st of May in Belgium is a day to celebrate workers' rights, but it has also become a time to address other issues. The speaker believes it's important for people to voice their needs and come together. A student named Victoria participated in a protest in support of Palestinians. The speaker emphasizes the importance of May 1st, as workers have fought for their rights. A professor named Olivier reflects on his own privileges and acknowledges the efforts made by manual laborers. He warns against forgetting the struggles that led to these rights. The speaker concludes by stating that even fundamental rights can be vulnerable and urges people not to take them for granted. C'est l'heure du feu ! C'est l'heure du feu ! J'ai l'impression que ce n'était pas seulement de détruire les choses pour détruire les choses, mais plutôt de dire qu'on a demandé des choses et que personne n'a répondu. C'est l'heure du feu ! C'est l'heure du feu ! Le 1er mai, en Belgique, c'est la Journée du Travail, donc on célèbre l'achat des unions et des partis politiques de gauche qui ont acheté des droits pour les travailleurs. Je suis allée à un proteste du 1er mai et j'ai été surpris à voir que le jour-là était aussi utilisé pour combattre les autres batailles. Chaque année, il y a ce proteste et c'est le moment pour les gens de déclencher ce qu'ils ont besoin. Il y a deux ans, c'était un seul sujet, maintenant c'est d'autres sujets, donc je trouve que c'est important. Victoria, une étudiante de l'Université de Bruxelles, a participé à ce proteste en soutien aux Palestiniens. C'est l'heure du feu, nous serons libres ! On peut demander ce qu'on a besoin et être ensemble, c'est plus à propos d'être ensemble pour Dieu. Certains ont l'opportunité de parler de leurs préoccupations sur les injustices en cours dans le monde, et d'autres ont l'opportunité de réfléchir à leurs propres droits. Je pense que le 1er mai est vraiment important, car les travailleurs ont beaucoup lutté pour nos droits. Voici Olivier, un professeur de l'Université de Belgique, qui n'est pas venu à la proteste, et ses réflexions sur ses droits. J'ai de très bonnes conditions de travail, je ne pense pas qu'on ait dû lutter beaucoup pour obtenir ces conditions, même si je pourrais être méconnu, car je bénéficie aussi des efforts que les travailleurs manuels et d'autres ont faits, comme par exemple les vacances payées, je bénéficie aussi de cela. Peut-être que c'est une erreur de ne pas se sentir concerné par ces luttes. On oublie souvent que certains de nos ancêtres ont dû lutter pour obtenir ces droits. Une fois qu'on les a obtenus, on pense que c'est naturel, qu'ils ne sont pas vulnérables, et en fait, ils le sont. On oublie souvent que c'est naturel, qu'ils ne sont pas vulnérables, et en fait, ils le sont. Cela peut se sentir comme s'il n'était pas en danger. Beaucoup des droits fondamentaux, comme les droits d'abortion aux Etats-Unis, sont en fait vulnérables. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org