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Long ago, the sea and the moon were not as they are now. A Micmac hunter named San Juan wished for the moon to guide him during his night hunts. He made a deal with the moon to bring him the pure light of the sea, but the spirit of the sea refused. Determined, San Juan devised a plan to steal the light. He searched the ocean depths but couldn't find it. Eventually, with the help of his knowledge and singing, he convinced the moon to give him the light. However, the spirit of the sea was angry and cursed San Juan to live in darkness. Now, every day, the tide rises in an attempt to reclaim the stolen light. Il y a fort longtemps, la mer ne montait ni descendait, ni descendait, tout comme les lacs et les rivières. Celles-ci étaient lumineuses, mais la lune ne l'était pas. Dans une critique proche d'un endroit où la mer entrait dans les terres Micmac, en Gasténie, un groupe d'inconnus avait monté leur flanc et assompté leurs wigwams. Proche du feu était assis un vieux homme nommé San Juan. Ce Micmac était un chasseur ambitieux, le meilleur de son groupe. Lui et sa famille s'étaient réunis autour du feu pour profiter de sa chaleur de cette froide journée de mi-automne. Au grand plaisir du jeune Micmac, il chantait des chansons traditionnelles et écoutait des récits du vieux chef de flanc. San Juan et ses amis se déplaçaient avec les saisons et l'immigration, son flanc était nomade. Là où San Juan vivait, il faisait glacialement froid et neigeux en hiver et en été, nuageux et ventants. Le campement du jeune chasseur est situé près de la baie des chaleurs et d'une forêt pour que les habitants puissent pêcher et chasser. Il était situé à un endroit où le fleuve Saint-Laurent et la mer Atlantique se rejoignent. Une belle nuit en nuage, alors qu'il chassait dans la forêt, proche de son camp, San Juan se ramassait. Puisqu'il avait beaucoup d'ambition pour la chasse, il pensait à la lune. « Ah, que j'aimerais que la lune élimine mon chemin pendant la nuit! » Il proposa donc à l'esprit de la lune, grâce à un chant traditionnel très puissant, de donner la lumière de la mer pour qu'elle le guide dans la nuit, celle-ci dit. « Bien sûr! Si tu m'apportes la pure lumière de la mer en tas, je t'éclairerai toutes les nuits. » Le matin même, San Juan se déroule au bord de la montagne. Il marcha jusqu'à ce qu'il arrive à la porte. Il s'allumait après les légendes de l'eau du monde. Il s'ajouta à l'esprit de la mer. « Ô esprit de la mer, peux-tu me donner ta lumière pour que je puisse chasser la nuit? » Maquillant l'existence de San Juan, l'esprit de la mer dit. « Non, tu ne me le ferais point! La lumière est mon préfet trésor. Elle m'appartient, les animaux y tiennent tant! » Mais San Juan était plutôt têtue, et, au lieu d'amener, il monta un plan de voler à l'esprit de la mer de l'océan. Il attendait donc l'invasion de tous les animaux de l'océan et se renda aussi profondément que les humains le lui permettaient à la recherche de la claire et souillée mer. Il n'avait pas encore trouvé le trésor-fleur qui appartenait à la mer où il avait été attaché. San Juan pisa donc dans ses grandes connaissances pour essayer d'envoyer à la lune la préfèce lumière de l'esprit de la mer. Il essaya donc de la lancer, de la déposer dans l'air comme si c'était une offrande, et même d'attirer la lune sans succès. Le jeune chasseur essaya par la clé de chanter, comme il l'avait fait plus tôt, et cette fois la lune tendue ses mains du ciel jusqu'à lui pour que celui-ci lui donne la lumière. San Juan l'a remis et lui serra la main pour conclure son pacte. « C'est l'objet le plus précieux de l'océan, tâche d'en prendre soin », dit-il. La lune, allant lui-même en semer un objet très précieux, exécute l'ordre du jeune homme. « Comme vous m'avez accordé l'honneur de la lumière de la mer, je vais honorer notre pacte. » Et, tout comme prévu, elle se mit à s'inquiéter de ses nuits. La mer, quant à elle, voulait assurer qu'il était déçu dès que la lune était assez proche. Elle se levait de tout son long pour arriver à se joindre aux yeux. Malgré elle, ce n'est pas assez pour la fin de la nuit. L'esprit de la mer, en revue du taïwan de San Juan, ne pouvait laisser une telle chute d'esprit imprévue et décida de faire s'élever le voleur. L'incendie de sa tige s'est rafraîchie, puis, un arrière-vapeur, elle l'a empoussie et le souffrera en danguillis pour que les yeux du ciel, comme les oiseaux, soient mouris. « Tu devras désormais survivre dans les profondeurs sans lumière puisqu'elle ne m'est plus. » Désormais, l'âme de San Juan se résume à mourir par les esprits du ciel auxquels il avait offert la lumière volée. Ainsi, chaque jour, la marée monte vers la lune pour tenter de récupérer sa précieuse lumière volée. Sous-titrage Société Radio-Canada