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The painting "Barricade, Rue Soufflot" by Émile-Jean-Horace Vernet depicts the turbulent events of the French Revolution of 1848. It shows a powerful visual representation of the tension and violence of the period, with a barricade at the center symbolizing popular resistance against the controversial policies of the republican government. The painting portrays clashes between protesters and authorities, with distinct uniforms and different weapons used. The thick smoke in the scene represents intense confrontations. The presence of the Panthéon in the background reinforces the symbolic significance of the image, representing the established republican institution but also highlighting the disconnect between the aspirations of the people and the existing government structures. Overall, the painting captures the social and political tensions of the Second Republic, showcasing the violence and repression faced by the rebels. L'œuvre « Barricade, Rue Soufflot » d'Émile-Jean-Horace Vernet, réalisée vers 1848-1849, offre une représentation visuelle puissante des événements tumultueux de la Révolution Française de 1848. Cette peinture à l'huile sur toile capture la tension et la violence qui ont marqué la période, faisant écho aux thèmes abordés dans le contexte de la Seconde République. La barricade composée de roues, de calèches et autres débris, pierres, est au cœur de la scène. Elle devient un symbole puissant de la résistance populaire face aux mesures politiques controversées du gouvernement républicain. Cette barricade représente visuellement les manifestations et les soulèvements contre les autorités, identifiables par leurs uniformes distinctes, et arrivant en masse, créant un affrontement direct au cœur de celles-ci. Cette dissolution a entraîné des confrontations violentes, notamment à Rouen, où la répression brutale a montré le grand écart entre le gouvernement et la classe ouvrière. Le personnage brandissant une pierre sur la barricade incarne la détermination du peuple, différencié par leurs vêtements civils blancs, à défendre ses droits face à la répression gouvernementale. Certains sont cachés derrière la barricade. De plus, l'usage d'armes par les deux camps, certains ont des fusils et des épées, montre la diversité des moyens utilisés dans la lutte. La fumée épaisse enveloppe la scène témoigne des affrontements intenses. Cela fait écho aux événements du 23 juin, où des manifestations ont parcouru les rues et les barricades se sont élevées, symbolisant la fracture entre les classes ouvrières et bourgeoises. La commission déclare l'état de siège et le général Kaveniak reçoit les pleins pouvoirs pour éprimer la rébellion. La présence du Panthéon, avec son dôme blanc en arrière-plan, renforce la portée symbolique de l'image. Il se dresse majestueusement au milieu du chaos environnant. Il représente également l'institution républicaine établie, mais sa position en arrière-plan souligne la distance entre les aspirations du peuple et les structures gouvernementales existantes. Pour résumer, en relation avec le contexte historique, l'œuvre illustre la violence et confondration, les barricades érigées par les révoltés et la répression brutale orchestrée par le gouvernement. Elle capture visuellement les tensions sociales et politiques de la Seconde République, soulignant le tournant conservateur du régime et les divergences croissantes entre le gouvernement républicain et une partie du peuple, comme montré sur cette peinture de Vernet.