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In this podcast, the speaker discusses two films: "Vers le Sud" by Laurent Quintet and "Bienvenue à Marly-Gaumont" by Camilie. "Vers le Sud" explores the themes of racial exoticism and sex tourism in Haiti during the late 1970s. The film follows three middle-aged white women who travel to Haiti for sexual encounters with young Haitian men. The speaker highlights the political climate in Haiti under Jean-Claude Duvalier and the women's disregard for the country's poverty and dictatorship. "Bienvenue à Marly-Gaumont" focuses on racism and racial exoticism, depicting the struggles faced by Yolo, a Congolese doctor, and his family in France. The film explores themes of discrimination and the pressure to assimilate into French culture. Both films touch on the themes of migration and trauma. The speaker concludes by noting the different endings of the two films, with "Vers le Sud" ending tragically and "Bien Bonjour, bonsoir, je me nomme Kanchubyan Lathed Ryan et ce podcast a été fait le 19 avril 2023. Les thèmes que je vais relever dans ce podcast vont être l'exotisme racial et le tourisme sexuel. Bien évidemment, je vais relever d'autres thèmes au cours de ce podcast qui sont liés aux deux films dont je vais parler dans ce podcast. Les deux films qui sont Vers le Sud par Laurent Quintet et Bienvenue à Marlène Gaumont par Camilie. Alors, regardons un peu une autobiographie de ces différents auteurs. Vers le Sud est un film dramatique franco-canadien-belge réalisé par Laurent Quintet. Et Laurent Quintet qui est né le 11 avril 1961 à Melles est un réalisateur et scénariste français. Alors, il écrit, il réalise, autant pour moi, Vers le Sud et il dépit les expériences de trois femmes blanches d'âge moyen à la fin des années 1970. Retenez très bien cette date parce que cette date est très importante, qui se rendent en Haïti pour faire du tourisme sexuel. Avec des jeunes hommes en Haïti pour s'évader et pour avoir leurs aventures. Et alors, la détérioration du climat politique en Haïti à l'époque de Jean-Claude Duvalier, un colonialisateur et un dictateur en Haïti. Et c'est justement pour ça que j'ai demandé de retenir la date 1970 parce que c'est à cette date plus précise en Haïti que Jean-Claude Duvalier a prouvé sa dictature et a colonisé beaucoup de Noirs en Haïti. Alors, les femmes, les trois femmes adoptent des attitudes différentes face à cette situation complexe. Et pour le film Marlie, bienvenue à Marlie Gaumont. C'est un comédien dramatique français de 2016 basé sur la vie de Sciolo Zantoco, le père de l'auteur même du film Camini, qui est un musicien. Il a co-écrit et réalisé ce film en termes de son père parce qu'il voulait parler un peu de la vie de son père et nous voyons bien que Camini Zantoco est un musicien et un scénariste français noir. D'après mes recherches, le père de Camini, Sciolo Zantoco, et sa famille ont quitté le Zaire pour s'installer à Marlie Gaumont, en France, en 1974. Ils ont eu du mal à s'assimiler en tant que premiers Noirs dans la ville. Camini a grandi dans cette ville et, à l'été 2006, il travaillait à temps partiel comme infirmier et Sciolo, son père, est décédé avant 2012. Alors, ceci, cette information a été recueillie par l'article de Camini, où il raconte sa vie et son autobiographie. Alors, nous allons procéder en donnant les thèmes, les différents thèmes que j'ai pu reléver et nous allons commencer par le tourisme sexuel, qui est un thème que j'ai pu identifier dans le film Vers le Sud, par Laurent Quentin. Le tourisme sexuel, selon l'article Géoconfiance et celui de Jean-François Staszak, citerait Sexcape, un type de tourisme dans lequel, selon eux, le voyage des touristes est motivé par la possibilité d'avoir des relations sexuelles pendant leur séjour dans le cadre d'une relation d'affaires ou pour s'évader ou pour avoir du plaisir. Alors, nous observons cela avec le film Vers le Sud, en Haïti, fin des années 1970. Une autre raison pour laquelle je vous ai demandé de retenir cette date. Nous avons ces trois jeunes femmes, dont j'ai parlé du nom d'Hélène, Brenda et Sue, trois femmes nord-américaines d'une quarantaine ou cinquantaine d'années, qui vivent une vie très difficile dans leur pays d'origine. Alors, solitaires, délaissés et négligés, nous allons dire, par leurs hommes, leur mari, dans leur pays d'origine, elles peuvent s'adonner ici, en Haïti, à l'exultation charnelle sans honte. Parce que ces trois femmes savent très bien qu'elles ne reçoivent pas de l'attention, de l'amour et tous ces plaisirs venant de leur mari ou bien de leurs différents travails dans leur pays d'origine. Alors, ils s'adonnent en Haïti au tourisme sexuel pour avoir du plaisir, des vacances et prendre profit des Haïtiens avec le plaisir. Alors, Hélène est un professeur de littérature française de Boston. Brenda, une épouse insatisfaite de Savannah, en Georgie, et Sue, une ouvrière canadienne sexuellement frustrée mais au caractère bien trempée. Dans ce monde qu'ils ont créé en Haïti, ces femmes ne se soucient pas de la pauvreté qui règne dans les environs, ni de la dictature violente qui règne en Haïti par Jean-Claude Duvalier. Le problème que ces trois femmes rencontrent, c'est que ces trois femmes ont des vues sur un seul homme nommé Legba qui commence à en avoir assez d'être un tombeur de ces trois femmes. Bien évidemment, ces trois femmes lui donnent de l'argent, quelques dollars pour avoir le plaisir sexuel. Mais un truc qui nous échappe, c'est ces femmes ne se soucient guère de la dictature et l'influence que ce dictateur place en Haïti dans ces années-là, en 1970. Parce que c'est à cause de cette dictature que nous pouvons voir à la fin du film que Legba meurt, à cause de cette dictature-là. Et alors ces femmes ne se soucient guère de cette dictature, mais se soucient plutôt de leur plaisir. Alors c'est là où nous pouvons analyser le thème du tourisme sexuel dans ce film. Et aussi, selon le docteur Bernard Liotto dans l'article Aibo Post, l'objectif des vacanciers en Haïti était la quête du sexe, plaisir et luxure à bon marché. Comme nous pouvons le voir, ces trois femmes, Hélène, Sue et la troisième femme nommée Sue et Brenda, qui partent en Haïti pour avoir ces trois aspects-là, le sexe, le plaisir et la luxure. Nous pouvons bien l'analyser dans ce film où ce sont les raisons majeures pour lesquelles ils s'en vont en Haïti. Alors nous allons continuer avec l'exotisme racial. L'exotisme racial qui, selon moi, est retiré du film Bienvenue à Marly-Gaumont. Selon Viviane Pézulo dans l'article Le coin du 7ème art, l'un des thèmes que nous voyons est le racisme dans le film Bienvenue à Marly-Gaumont. C'est Yolo qui a du mal à prouver qu'il est médecin à cause de la discrimination raciale. Parce que bien évidemment, après qu'il est soutenu comme étant médecin, il ne peut bien évidemment pas avoir du travail à Paris parce qu'il n'est pas blanc. Donc nous pouvons voir là le racisme, la discrimination raciale et l'exotisme racial. Alors, dans ce film aussi, nous pouvons analyser comment ces différents caractères traitent la famille de ce Yolo. Et tout au long du film, il y a une mentalité « nous contre eux », des citadins. Et ce film montre combien il est difficile d'être considéré comme un autre. Dans une certaine façon, il est parfaitement acceptable pour tout le monde d'être méchant et horrible pour la famille Zantoko. Mais ils ne peuvent pas se pencher à ce niveau où ils seront traités pire. Et même, nous pouvons voir que si Yolo parle à ses enfants et parle à sa femme leur disant d'abandonner leur culture et de faire tout pour être accepté dans cette culture française. Il demande à ses enfants de travailler même dix fois plus dur à l'école pour être toujours parmi les premiers. Tout cela pour prouver aux Français que les Noirs aussi peuvent être intelligents et avoir de l'intellectualité au niveau de l'école en France. Pour prouver la force des Noirs encore, ce Yolo va tout faire pour abandonner sa culture et se mettre en avant pour qu'il puisse être accepté en tant que docteur dans la culture française. Alors, nous pouvons y retirer le traumatisme que c'est Yolo en faisant ainsi le traumatisme qu'il a eu en essayant de s'adapter à la culture française. Parce que, bien évidemment, il a été traumatisé par les différents rejets qu'il a eu. La femme enceinte qu'il insulte sans arrêt juste parce qu'il veut l'aider. Nous pouvons voir là que tout cela est réuni pour son traumatisme. Et nous pouvons aussi intensifier la migration vu que Yolo et sa famille sont des migrants du Congo pour venir s'adapter ou bien vivre en France. Et pour conclure, nous allons voir ce thème de la migration dans les deux films, la migration et le traumatisme. La migration parce que ces différentes femmes dans le film Vers le Sud sont des migrants de leur pays d'origine pour venir s'installer en Haïti pour le seul but d'eux, le tourisme sexuel et le traumatisme qu'ils reçoivent. Et lorsque leur seul compagnon, l'egba, meurt à cause du colonialisme et de la dictature qu'ils subissent en Haïti dans les années 1970. Ces thèmes sont aussi mis en avant dans le film Bienvenue à Marly Gaumont comme je l'ai bien représenté. Ces films ont des fins différentes parce que nous pouvons constater dans le film Vers le Sud que ce film a une fin vraiment pathétique. Parce que nous pouvons analyser comment le caractère de l'egba meurt à la fin et le film Bienvenue à Marly Gaumont a une fin un peu plus très joyeuse. Parce que nous pouvons analyser là que ce YOLO a finalement eu pu être accepté par la culture française. Et alors ce sera tout pour ce podcast et merci d'avoir suivi.