Home Page
cover of 39dfd5da-8748-40fe-8eda-71349db8b99e
39dfd5da-8748-40fe-8eda-71349db8b99e

39dfd5da-8748-40fe-8eda-71349db8b99e

Youssef1

0 followers

00:00-20:04

Nothing to say, yet

2
Plays
0
Shares

Audio hosting, extended storage and much more

AI Mastering

Transcription

Allô ? Bonjour madame, vous êtes au boutin de l'union des fournisseurs pour un B.E. J'espère que vous n'allez pas vous déranger, madame. Non. Je vous remercie. En fait, madame, on a déjà essayé de vous joindre, même on avait envoyé un mail concernant justement le transbordage de votre contrat, mais malheureusement, en fait, on n'avait pas reçu de retour de votre côté. Par rapport à quoi ? C'était par rapport à votre contrat d'intérêt, en fait. Si vous vous rappelez justement, madame, en passant par notre service, on avait fait ce contrat le mois d'octobre, qui avait commencé le mois de décembre, justement, pour Rue des Survieillis, de numéro 1. En fait, c'était un contrat fixe, mais depuis le mois dernier, il y avait une diminution sur le marché. Donc, on était obligé, bien sûr, madame Dany, de revoir les conditions de votre contrat. Vous voyez ce que je veux dire ? Oui, mais il y a un problème, parce que maintenant, je suis sur Total Énergie. Vous avez changé entre temps ? Mais pas moi, mais je suis sur Total Énergie. D'accord, mais sois très discrète, madame. Excuse-moi vraiment pour la question qu'on ne vous dit pas, vous. Je comprends que ça a été fait le mois d'octobre, c'est ça ? C'est peut-être la personne qui s'occupe de mon fils, oui, qui gère ses sous et tout ça. D'accord, parce qu'en fait, madame, sois très discrète. Normalement, je ne sais pas, en fait, si vous en donnez les détails, bien sûr, concernant le contrat de Total. Comme vous le savez, bien sûr, madame, nous, on n'a vraiment pas le droit de le dénigrer ou bien nuire à l'image de marque parce qu'on travaille avec tout le monde. Mais Total, en fait, il est le seul fournisseur proposant une redevance annuelle à 160 euros pour le compteur. Donc, juste pour la redevance, pour le gaz, vous êtes à 160, pour l'électricité, vous êtes à 160. D'accord. Alors, vous étiez seulement à 69 euros pour l'allocation du compteur. Donc, juste au niveau de l'abonnement, vous rajoutez 90 euros pour chaque compteur. Vous voyez ce que je veux dire ? Oui. Donc, en fait, madame, sois très discrète. Donc, je comprends que ce n'était pas vous-même la personne qui gérait en fait vos factures. Non, j'ai dû mettre mon fils sur un médiateur parce qu'il y a eu des problèmes avec les autres enfants. Et maintenant, c'est le médiateur qui paye les papiers. D'accord. Donc, vous me parlez bien sûr de l'adresse rue des Sorbiès. Oui, oui, c'est ça. D'accord. Donc, je comprends que ce n'était pas vous-même qui gérez en fait ce dossier. C'est ça ? Non. D'accord. Il n'y a aucun souci alors, madame. Si vous me dites normalement que ce n'était pas votre choix, donc, je comprends bien sûr, madame, que vous restez quand même libre de votre choix. C'est-à-dire que c'est vous-même qui prenez quand même les décisions au final du compte. Ah oui, oui, oui. Je comprends. Et sois très discrète, madame. En fait, le problème que vous avez eu, c'était auprès de INGIE, si je comprends bien. Mais non, je ne sais pas ce qu'il y a eu. Il a mis le tarif le moins cher et il a mis le sur Total Energy. Voilà. Donc, on avait recommandé INGIE le mois d'octobre. Donc, sois très discrète, madame, si c'était Total quand même le moins cher par rapport à votre dossier. On allait le recommander pour vous sans faute. Vous voyez ce que je veux dire ? Oui. Mais ce n'est pas vraiment le cas. Donc, je pense que monsieur, en fait, avait reçu un appel de la part de Total directement en se présentant et en disant que c'est de notre part, je suppose, quand même, pour gagner la confiance de monsieur. Vous voyez ce que je veux dire ? Oui. Voilà. Mais par contre, madame, en fait, quelle est la compte qu'il vous a proposée justement ? 69 euros par mois. 69 euros pour le gaz et pour l'électricité ? Non, rien que pour le gaz. Rien que pour le gaz. Rien que pour le gaz. D'accord. Et pour l'électricité, en fait ? Quant au budget pour l'instant. Quant au budget. D'accord. Donc, vous faites vous-même une recharge. Oui. Comme ça, vous gèrez vous-même, en fait, votre dossier. Très, très bien. Parfait. Concernant cela, alors, madame, si je comprends bien, le chauffage chez vous, donc, c'est à gaz. Donc, vous avez une chaudière, d'après ce que je comprends. Oui. C'est ça. D'accord. Le chaud aussi. Pour la cuisine, c'est toujours du gaz ou bien c'est des plaques électriques ? L'électricité, maintenant. C'est des plaques électriques, alors ? Oui. Très, très bien. Parfait. Donc, c'est quand même plus économique. Et concernant, en fait, cela, madame, sans être indiscret, vraiment, sur quels critères de choix, en fait, madame, vous vous basez pour choisir un fournisseur ou bien plutôt pour faire confiance à un fournisseur, justement ? Je n'ai pas compris votre question. Je vous en prie. Je demande, madame, en fait, quelle est la chose la plus, en fait, importante pour vous chez un fournisseur ? Bien, quel est votre critère de choix ? Bien, que ce soit le moins cher quand même. Bien sûr. Le prix. Comme on dit, c'est le nerf de la guerre. Je ne suis pas sur l'or. Un euro, c'est un euro. Ça, c'est sûr. Parce qu'en fait, madame, pour quelle raison, en fait, je m'excuse, je me suis permis quand même de vous poser ces questions, parce que normalement, sur notre système, la compte qui a été estimée, et bien sûr, nous, à la base, on avait fait, en fait, un calcul pour le gaz et pour l'électricité, même si, bien sûr, vous avez un compteur à budget à carte. Oui. En fait, la estimation de la compte avec le nouveau tarif qu'on vous a calculé, c'était une compte de 62 euros, 48. Et bien sûr, cela a été bien comprise. Donc, vous voyez quand même la grande différence. Oui. Et en fait, cela, madame, c'est déjà avec la prime de bienvenue. Je pense que vous vous rappelez qu'à chaque fois que vous passez par notre service, vous avez votre prime de bienvenue qui est de 150 euros, qui s'applique sur chaque contrat que vous faites par notre service. Et en plus de ça, en fait, madame, c'est un contrat fixe. C'est-à-dire que ce n'est pas du variable. Donc, vous n'êtes pas censé vous retrouver avec des augmentations. Vous voyez ce que je veux dire. D'accord. Donc, voilà. Donc là, bien sûr, madame, si vous nous donnez justement votre accord, comme d'habitude, on peut bien évidemment reprendre bien sûr votre dossier, comme je viens de vous expliquer. Bien sûr, vous allez en fait garder votre compteur abusé. Ça, on ne le touche pas. Si vous souhaitez bien sûr continuer à faire vous-même la recharge. Oui, oui. Voilà. On ne peut pas le modifier. Mais par contre, bien sûr, le prix du kilowatt-heure que vous aurez pour le gaz et aussi pour l'électricité avec lequel vous allez acheter vos kilowatt-heure, ça reste un prix du kilowatt-heure qui est largement préférentiel, que ce soit au niveau de la redevance, que ce soit au niveau du prix du kilowatt-heure. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord. D'accord.

Listen Next

Other Creators