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Shocking news from Strasbourg: the city is in chaos and under attack from Germany. The buildings are destroyed, there are already over 100 deaths, and the population is not safe. Two teenage girls share their experience of the German army's arrival and the commander, who appeared determined to destroy and conquer. The girls are hiding with other survivors but fear they will be found. The call ends abruptly, leaving uncertainty about their fate. Enfin, lundi, le temps sera mieux à jeu, à 2h00. Musique. Amis auditeurs, Flash-info. On est en train de me rapporter des informations choquantes. Strasbourg est dans un état critique. Les cris des bombardements se font entendre depuis plus de 30 minutes. Les bâtiments sont en ruine. La population n'est pas en sécurité. C'est le chaos dans la ville. Il y a plus d'une centaine de morts déjà. Une guerre aurait éclatée avec un pays frontalier, l'Allemagne, qui serait venue sur les territoires français pour récupérer, selon eux, ce qui leur appartenait déjà. Je vous passe ma collègue, Mme Rahaly, qui est sur les lieux. Bonjour à toutes et à tous. Strasbourg est dans un état jamais vu auparavant. Nous nous retrouvons dans une maison, où le peu de survivants se sont réfugiés. J'ai devant moi deux jeunes adolescentes, Aïchégule et Melda, qui étaient sur les lieux lors du drame. Étaiez-vous présentes lors de l'arrivée des Allemands ? Oui. Nous étions en train de rentrer chez nous quand on avait un regroupement arrivé par le pont de l'Europe. C'était l'armée allemande. Ils étaient venus d'une combinaison classique qui avait l'air d'être un gym et d'un gilet portable noir. Sur leurs têtes, on pouvait voir un clé picadille et d'un colstère en cuir et merlin feu. Ils les utilisaient pour abattre la moitié de la population. Quelques soignants les terminaient dans des camps de concentration. Vous avez de la chance. Nous avons resservi-nous jusqu'ici. Mais ils ne tarderont pas à nous retrouver. Ils sont proches. Comment était le commandant de l'armée ? Il était blond aux yeux bleus. Il n'avait pas de combinaison kaki et noir. Son gilet portable était kaki. Celui-ci possédait une plus grosse arme à feu que les autres. Avait-il l'air méchant ? Oui. Quand je l'ai vu, un frisson m'a traversé le corps. Il avait l'air énervé. L'air énervé, dites-vous ? Quoi ? C'est sûr qu'il était français et avait l'air déterminé à tout détruire et à tout obtenir. A peine furent-ils venus, que les massacres étaient déjà multiples. Je dirais qu'à ce moment-là, il y avait au minimum 5 attaques et un tour de rang. Nous pouvons constater que les jeunes adolescentes sont très touchées par cet événement. Elles se sont réfugiées dans un petit endroit où se trouvent tous les survivants. L'Allemagne conquérera-t-elle Strasbourg ? Melda et Achigul arriveront-elles à s'en sortir ? Le réseau devient instable. Aidez-nous, les Allemands arrivent. Ils sont tout proches. Ils se rapprochent du cagement. Allô ? Allô ? Quelqu'un me reçoit ? Que se passe-t-il ? Nous n'arrivons plus à les contacter. Il y a une téléphonique qui a été coupée. Allô ? Aidez-moi. Ils ont tué tous les survivants. Ils sont en train de nous poursuivre. Ils... Y en a-t-il d'autres ?