Réunion avec TRS - Benoit COSTE-20241212_104803-Enregistrement de la réunion

Rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeith gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio y byddwn yn gweithio'n fawr iawn, ond rwy'n gobeithio et par exemple ici, comme ça on fait le test, ici vous avez demandé de me le résumer en 1500 signes, et là quand tu me demandes de me le résumer de manière globale, c'est un peu plus étendu. C'est pas énorme non plus quoi. C'est pas énorme non plus. D'accord. En fait j'ai un document de 19 pages, c'est quand même plus de 400 pages. Oui, non mais ok. Et là en tout cas quand tu me demandes de le résumer comme ça, ce qui est intéressant par contre, c'est qu'il y a des grands toits. Ouais c'est ça. Là il dit, voilà, j'ai écrit. Est-ce que vous avez un truc où je peux lui passer un verre d'autres données, et je lui demande une analyse de ce tableau de données ? Alors, ça c'est quoi avec le notebook ? C'est possible, parce qu'il y a un petit dilemme que j'essaye, mais personne n'a été confronté, et c'est pas si simple que ça. De toute façon, on ne peut pas s'arrêter et essayer sur le notebook. Il y a des différents tableaux. Et je pense que de toute façon, c'est pas hyper caractéristique. Par exemple, on a mis le résultat et le bilan de notre concurrent. On lui a posé une question générale au début, puis des questions un peu plus désaffinées. Et le résultat est pas mauvais. Mais après, c'est à la fois dans la qualité de l'adjustement, il faut être le plus précis possible, vraiment. Et des fois, vous m'avez indiqué, par exemple, qu'il y a un tableur avec des éléments. On lui dit, voilà, je vais faire une colonne, tac, tac, tac. Il faut travailler, même préciser, sur le colonne sur lequel il va travailler. Et par exemple, sur ici, je ne sais pas, un chiffre XLS avec je ne sais pas combien de colonnes, je ne sais pas combien de slides, etc. Il peut un peu se perdre là-dedans. Je pense qu'il faut s'orienter, par exemple, sur le tableau qui se trouve sur telle feuille et sur telle feuille, etc. Ou se contenter des feuilles pendant un temps. Par exemple, des fois, l'aiguiller sur certains trucs. Benjamin, tu m'as expliqué l'autre jour de prendre le truc et faire un groupe vide. Voilà. En fait, il réfléchit un peu comme nous. Si tu lui donnes tout et que tu lui poses une question, il y a tellement de choses que c'est un peu compliqué. Il faut l'orienter. Et en fait, quand tu saucissonnes, tu poses fin à ta question. Et après, de ces résultats-là, tu peux reposer une question peut-être plus générale, puisque tu as déjà épuré un certain nombre de choses. Ça dépend de la complexité du document. C'est vrai que si c'est un document, je ne sais pas combien de balles, etc. Je ne me fais pas l'avocat du BFWA. C'est juste qu'elle, elle va faire le boulot auprès de l'ensemble des sources. Et c'est peut-être que des fois, là, elle va faire l'impasse pas de manière consciente, en fait. Parce qu'il y a tellement de données que ça peut être un peu tordant. La question, c'est quelle ? Je vais te donner un ensemble de données. Je voudrais qu'il te fasse des graphiques, qu'il te fasse une analyse. Alors, des graphiques. Là, il n'y a pas forcément d'outils gratuits qui permettent de générer directement des graphiques là-dessus. Après, sur les données, avec un chatbot classique, le nombrer avec un fichier XFS, c'est pareil. Ce n'est pas juste le prompt en lui disant « Peux-tu me faire l'analyse de ça ? » C'est lui redonner un peu les tenants, les aboutissants, etc. Il faut être plus précis, en fait, dans la demande. Oui. « Peux-tu me faire l'analyse ? » « Je souhaite savoir. » D'être plus précis. Exactement. En fonction de tels critères, de tels critères, c'est ce que vous mettez. Par exemple, en correspondant ces critères avec ces critères. C'est toujours pareil. Quand on s'adresse entre nous, par exemple, on peut afficher à quelqu'un en disant « Tu peux me l'analyser ? » En gros, par culture d'entreprise et par culture de la personne, il va savoir ce qu'il faut analyser. Ces outils-là, comme ils ne sont pas spécialisés, ce qu'on a vu hier, si on prend l'exemple de la feuille de vigne, elle a été spécialisée pour la feuille de vigne. Là, ce n'est pas les outils qui sont spécialisés. Ceci étant, même en entreprise, et nous le savons tous, en tout cas, sur Eric et moi, c'est que si nous ne sommes pas précis dans la demande qu'on se ferme, le résultat n'est pas attendu. Ce n'est pas ce qui est attendu. Alors est-ce que c'est parce que celui à qui on demande est un neuneu et ne comprend pas du neuf qu'effectivement on est dans le transport et qu'on cherche à savoir ceci, cela, cela, ou est-ce que c'est l'expression de la demande qui n'est pas juste ? C'est souvent l'expression de la demande qui n'est pas juste. Si l'expression est précise, le résultat doit l'être. S'il ne l'est pas, c'est là où on peut se poser des questions sur les gens. C'est souvent ça avec l'IA. C'est souvent une expression qui n'est pas très précise. En fait, c'est ce que je disais hier quand on parlait d'un enfant de 3 ans, c'est exactement ça, c'est-à-dire que du moment qu'il y a une espèce d'échappatoire où il y a un truc où ça ne va pas être précis, on est sûr qu'il va foncer dedans. Il faut toujours qu'il comble le truc et donc s'il y a un truc où ce n'est pas précis, lui, il va tenter de le combler par lui-même. C'est toujours le danger, c'est autant quand c'est un collaborateur, il va être en capacité de dire « je vais peut-être faire un top-top parce que je n'ai pas l'info, machin ». L'IA ne va jamais dire ça. C'est ça qui est fou. C'est quand elle donne un résultat, on a toujours le sentiment que c'est un résultat qui est consolidé, qu'il y a un résultat qui est sûr. Non. Et si on ne lui demande pas si son résultat est sûr, elle ne va pas nous dire que son résultat n'est pas très précis. Il y a un vrai truc, c'est une vraie expérience avec un humain, un humain qui ne va pas l'exprimer. L'IA n'exprime pas du tout. Il peut déjà tout en discuter. D'ailleurs, c'est un vrai danger. Il n'y a pas besoin de discuter. Il y a besoin de parler un peu de Yamaha. Yamaha, pour faire des cours, c'est quelque chose que vous pouvez imaginer. C'est une application gratuite. Un autre truc qui va vous intéresser, c'est une application pour des tournées. Vous la connaissez ? Alors, je vous demande un petit reportage qui vous présente un petit peu la solution. C'est plus simple que mes discours.