Details
Nothing to say, yet
Big christmas sale
Premium Access 35% OFF
Nothing to say, yet
Yash Khournai, responsible for health and safety, food safety, and engineering, discusses the impact of Covid-19 on his work. Financially, there was no impact, but operationally, there were changes in cleaning protocols and scheduling. Meetings shifted from virtual to face-to-face, with reduced participants. Communication was not difficult, but the main challenge was implementing new cleaning procedures. Overall, the hotel industry faced a shortage of manpower due to the pandemic. Je me présente moi-même, Yash Khournai, je travaille dans le boulevard tout de suite, responsable principalement au niveau health and safety, food safety et en génie, qualité et sustainabilité. Health and safety, c'est des deadlines responsables pour analyser les liens entre sustainabilité, qualité, emploi. Comment ça a impacté ? Le coup d'actualité n'a pas impacté vraiment, il n'a pas impacté au niveau financier. Financier, oui, parce qu'il n'y a pas de travail, mais il n'a pas impacté au niveau opération. Il n'y a pas d'arrêt opéré. Il n'y a pas d'arrêt opéré dans le sens que tout le monde était mis à port par Yash Khour, il ne fait qu'une quarantaine, donc nous étions roulés à plein régime. Les armées, ils m'ont posé au feu. Dans les neufs, c'est une série qu'ils m'ont posé, c'est le paradis scolaire. C'est un protocole qu'ils mettent en place, comment nettoyer à l'ensemble, qui nettoyer, qui produise la vie. Donc, arrivé à un moment donné, le fait qu'il y ait Covid, les bactéries en personne, partout, déchirés, je ne peux pas te le dire. Ils nous ont enlevé l'alchimie. Et là, nous venons d'une explication, nous nous mettons dans un secret en place, comment nettoyer, qui nettoyer, comment nettoyer. Quand il se préproduit là, comment il est temps de le laisser poser pour l'état actif, etc. On fait un training avec tous les FMI. On a un phénomène sur les FMI. Comment faire et quand faire. Et tous les vêtements, comment nettoyer, comment on va nettoyer, etc. Donc, c'est un processus qui est fait en place. Donc, ça ne peut pas nous affecter, nous, de le se retirer. Par contre, au niveau meeting, tout se fait pratiquement, maintenant, c'est plus Covid. C'est face à face. Mais avant, c'était Teams, virtuel. Généralement, le moment qu'au bureau, surtout, nous avons trois jours de travail. Des jours work from home, donc coupés. Des jours, des jours, du bureau, ça arrête. C'est pour la suite. Au travail, c'était cinq jours, une équipe. Après cinq jours, l'équipe arrête sa case. Après cinq jours, l'autre équipe rentre. Si dans la première équipe, un pour moi, il gagne, il s'attrape Covid, etc. L'équipe prochaine arrête sa case. C'était le même protocole que le gouvernement qui m'était en place. Avant Covid-19, tout à fait, c'était au papier, team meeting. Sinon, tu finis de bouger dans team meeting, parce que tu fais un meeting, comme tout groupe, mais c'était plus face à face. C'était plus face à face, c'était plus friendly. Après la Covid, tu réduis le nombre de meetings. Réduis le nombre et combien de participants dans le meeting. C'est donc un maximal suite à Teams. Sinon, plus de comités, plutôt. Plus de comités, c'est même dispensing des tables. S'il y a un rostering, tu peux le faire au bureau. Dans l'hôtel, c'est un peu moins différent, parce que tu as une équipe ABCD. Mais au bureau, c'est un rostering. Moi, je vais venir avant lundi, toi tu vas venir avant lundi. Donc, le bureau reste vide. Pas vide, mais moins de personnes à l'intérieur. Les communications se faisaient virtualement. Téléphone, WhatsApp, e-mail, Teams, etc. Donc, chaque étudiant que tu connais peut le faire. Chaque étudiant que tu connais peut le faire. Donc, le challenge, ce n'était pas un communication, mais plutôt un... Communication, ce n'est pas un problème. C'était plus comment faire pour nettoyer. C'était ça le plus gros challenge. Essayer de faire que l'infirmière comprenne qu'il faut nettoyer, qu'il faut reposer là-dedans, qu'il faut attendre 5 minutes, ne pas suivre tout de suite. Qu'il ne soit pas sur le téléphone là, qu'il ne soit pas sur la table là, qu'il soit sur XRF. Est-ce que c'est difficile quand tu fais communiquer avec le management quand tu fais un meeting ? Est-ce que c'est difficile dans un nouveau moyen ? Les communications, par exemple, c'est-à-dire aux Teams, par courriel téléphonique, par WhatsApp ? Non, ce n'était pas difficile. Parce que, exactement, il y a un management qui copie avec la technologie. Il y a un management de personnes qui, plutôt, ne comprend pas la technologie. Au fait, le meeting là, tu le fais avec tous les jeudis. C'est-à-dire, allons dire, responsable HR, responsable de bord, responsable, etc. Il faut baser le meeting, le main meeting là. Après, il y a le, disons, FMB manager. Il dit, connecte-moi pour communiquer sur l'équipe. Donc, tout le temps, c'est la même personne qui peut gagner la même information. Les autres, ils nous viennent, ils arrivent, ils viennent pour voir des chansons, etc. C'est le HR manager qui peut gagner la même information. Après, il n'y a pas seulement ça, c'est l'équipe. Il y a WhatsApp, il y a un téléphone. Donc, il connaît comment passer sur le site. Donc, si nous attendons à faire le meeting là, par exemple, moi, je vais faire le meeting là avec toute l'équipe, parce que nous, nous avons plus d'années. Il faut bien nous voir, qu'est-ce qu'on va faire sur le site, parce que nous, nous flottons, nous avons 17 ans de travail, on va passer sur le site, tout d'un coup, on va voir comment on va faire. Bref, on va passer, soit virtuel, soit devant l'équipe présente, soit par WhatsApp, soit par téléphone. Donc, à l'époque, c'est facile, parce qu'il y a des solutions. Il faut faire ça comme navigation. Maintenant, les données ont changé. Maintenant, si nous avons le Covid, là, les choses ne sont pas difficiles, mais elles sont un petit peu compliquées. On est bien amenés. Enfin, à nous, à tous les hôtels. Tous les groupes, à tous les hôtels, tous les groupes. Il y a un problème de main-d'oeuvre actuellement, parce qu'il y a un petit réseau de soins, il y a un Népalais, etc., etc. Auparavant, quand on avait le Covid, c'était moche, tu ne savais pas faire une communication, tu ne savais pas s'entraider. C'est facilement à comprendre. Maintenant, là, on lit bien, on lit bien en français. Il faut signer, mais bon, il faut... Il faut une différente langue. Là, peut-être qu'il va y avoir une... Bon, peut-être qu'il va y avoir une difficulté, mais peut-être qu'il va y avoir une gaffe de communication. Mais pas vraiment. Et là, on s'avance. Donc, quand on avait le Covid, il n'y avait pas de communication en gaffe, parce que c'était Mauritanie, Mauritanie. Nouvelle transition en termes de... moins de contact en termes de peine, etc., non. Mais peut-être... Nous, nous nous adaptions, nous, la façon de faire le meeting. Le meeting, ça, tu peux le faire. Tu peux faire ça quand tu commences. Tu viens dans le bon café. Ça, tu peux, non? Donc, tu peux faire... C'est bien sûr. C'est bien sûr, c'est bien sûr. Pour en couper, donc. C'était plutôt ça, maintenant, avec certains facteurs. Rien à voir avec... Par exemple, on est moins fédérés. Au bureau, tout le monde est là-dedans. Tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI, tous les FMI,