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It's normal to feel bad sometimes. We tend to believe that we always have to be fine and never let ourselves feel down. But sometimes, it's good to cry, to feel bad, to not feel good enough. We all go through phases where suddenly, we don't feel well anymore. We see everything in a negative light, we lose faith. But what's the point of suppressing these feelings? By pushing them away, we only make our well-being worse. We get trapped in a spiral, trying to comfort ourselves by telling ourselves to move forward, to stay optimistic. We think that everything will get better, that every problem has a solution. But sometimes, that's not true. Sometimes, we feel stuck. We don't know which path to choose. We don't know how to navigate anymore. So, we wander alone in the dark and we don't want to hear "Don't worry, it will be fine." No, really, it's not going to be fine Au final, c'est normal de se sentir mal. On a souvent tendance à croire qu'il faut toujours aller bien, toujours être top et jamais se laisser aller au mal-être. Mais des fois, ça fait du bien de pleurer, d'aller mal, de ne pas se sentir à la hauteur. On a tous des phases dans nos vies où à un moment donné, comme ça, du jour au lendemain, on ne se sent plus bien. On voit tout en noir, on ne croit plus en rien. Mais à quoi bon refouler ces sentiments ? En les repoussant, on alimente simplement davantage notre mal-être. On s'enferme dans une spirale dans laquelle on essaie de se réconforter du mieux qu'on peut, simplement par le fait de se dire qu'il faut aller de l'avant, rester optimiste. On se dit que tout va s'arranger, que chaque problème a sa solution. Mais parfois, ce n'est pas vrai. Parfois, on se retrouve bloqué. On ne sait plus quel chemin choisir. On ne sait plus comment s'orienter en fait. Alors, on erre seul au fond du seau et on n'a pas du tout envie d'entendre dire « Ne t'inquiète pas, ça va aller ». Non, vraiment là, ça ne va pas du tout aller. Laisse-moi aller mal, laisse-moi pleurer. Mais alors, quoi faire ? Comment réagir quand tu vas mal, quand tu ne sais plus quoi faire, quand ça boue en toi que tu es là, tes idées fussent, ton cerveau est tout le temps en train de penser ? Le mal-être, il se définit par une tristesse inhabituelle qui mêle, un sentiment d'angoisse et de fatalité. Une perte d'intérêt et de plaisir qui touche tous les domaines de ta vie, ta famille, tes amis, ton travail, tes loisirs même parfois. Et les symptômes, ils durent dans le temps et ça perturbe ton quotidien. Selon Socrate, l'homme ne peut pas œuvrer consciemment à sa propre perte. Si un homme s'engage dans la mauvaise voie, alors c'est qu'il sait que celle-ci pourra lui porter préjudice. Autrement dit, si les hommes font le mal, c'est parce qu'ils traînent ce mal pour un bien. Alors, est-ce qu'on est vraiment conscient qu'on va mal ? Est-ce que tu arrives à discerner le moment où tu te sens mal du moment où tu te sens bien ? En vrai, je dirais que oui, parce que quand tu vas mal, tu le sens. Tu le sens dans tes tripes, ça ne va pas et ça se traduit de plein de façons différentes. On se met grave sur la défensive, on perd confiance en nous, on perd confiance en nos capacités, nos capacités à être qui on est, à faire ce que l'on sait faire, notre capacité à croire en nous et à nous pousser vers le haut de nous à nous. On perd confiance en nous physiquement, mentalement, professionnellement parlant et humainement aussi. On a du mal à savoir ce que l'on veut, on se sent constamment perdu, on ne s'est pas forcément compris, même si tu as du monde autour de toi, tu es là, mais tu as l'impression que les gens comprennent, mais en fait, ils ne comprennent pas. C'est ça en gros. Et des fois, c'est dur, parce que tu te retrouves souvent confronté à des situations dans lesquelles tu te mets et tu t'enfonces dans les situations et tu te laisses couler. Alors, comment on ne peut pas être pleinement conscient que l'on se retrouve dans la mauvaise situation ? Comment on ne peut pas avoir la fragilité de savoir que nous y allons de notre plein gré ? Puisque nos choix, on le sait, ils ne dépendent que de nous.