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The speaker is excited to discuss the topic of living for oneself and not caring about others' opinions. They share their personal experiences of being afraid to be themselves and constantly seeking approval. They emphasize the importance of making choices that align with one's true self and feeling confident in expressing oneself. The speaker encourages listeners to embrace their uniqueness and not be afraid to say no or be true to their own style. They highlight the need to prioritize self-acceptance and not let others' opinions define one's worth. The speaker acknowledges that the journey of self-discovery may not be easy or linear, but it is essential for personal growth and empowerment. They stress the importance of not letting others' opinions affect one's self-confidence and encourage listeners to trust themselves and embrace their own truths. Allo! J'espère que tu vas bien! Oh my god! Bienvenue sur le podcast Réveil sur Zed! Je suis tellement énervée! Ça va faire partie des premiers épisodes que tu écoutes en ce moment. Je suis vraiment énervée de te présenter cet épisode-là parce que c'est vraiment comme un sujet en fait que j'avais hâte de jaser. C'est vraiment quelque chose qu'on vit tous je crois. C'est impossible de jamais se soucier de ce que les autres pensent. J'avais vraiment envie de te partager un petit peu mes réflexions par rapport à ça parce qu'en fait le nom du podcast, je ne sais même pas encore ce que ça va être. Mais l'épisode traite le sujet de, dans le fond, arrêter de vivre pour les autres. Je pense que c'est tellement important de s'en rendre compte le plus tôt possible qu'on fait ça parce que ça fait beaucoup partie de mon espoir. Je vais te partager un petit peu, te mettre en contexte, c'est quoi mon rapport avec tout ça. J'ai toujours, toujours eu peur de déplorer dans ma vie. Tout le temps. Je ne sais pas, c'est peut-être un travail que je dois faire sur moi. Je ne sais pas nécessairement d'où ça vient. C'est sûr que ça vient sûrement de mon enfance. Mais honnêtement, je me rappelle qu'au secondaire, je me censurais. J'étais une toute autre personne. Je pense que ça s'est beaucoup transféré en timidité. Je suis quelqu'un qui est quand même assez gêné dans la vie. Comme je suis confortable, que je me sens bien, que je me sens à l'aise, je suis comme quelqu'un d'autre. J'ai comme de l'humour qui pop de temps en temps et je m'assume pleinement. Pour de vrai, aujourd'hui c'est vraiment mieux. Je suis vraiment plus assumée. Je suis vraiment quelqu'un qui est super expressive. Je gestuelle beaucoup. Je parle quand même fort. J'aime ça rire. Bref, je me rappelle qu'au secondaire, j'étais gênée. Mais comme next level, au point que je n'étais même pas capable de regarder personne dans les yeux. Je me rappelle que quand je sortais avec des amis, je n'étais pas moi. Je ne parlais jamais. Les gens étaient comme, oui, tu parles peu. Pour de vrai, je pense que ça c'est que je cachais mon vrai visage. Je me protégeais et je ne voulais pas montrer au grand jour. J'ai stacké mon relou. Je ne m'ouvrais pas à personne, sauf aux gens proches de moi. Il y a des gens qui connaissaient vraiment la vraie marque relou. C'est fou de dire ça parce qu'on est tous des humains uniques. On a tellement de belles personnalités. On a tellement ça en nous. On le cache. Je pense que c'est important de le dire. C'est important de le souvenir et d'en prendre conscience. Pourquoi on se censure comme ça? Il y en a qui se censurent en ne pas s'aligner avec eux-mêmes. Moi, ça s'est transféré beaucoup en timidité. J'étais gênée tout le temps et je ne parlais pas. Il y en a qui, au contraire, font semblant d'être quelqu'un qu'ils ne sont pas. J'ai juste envie, avec l'épisode d'aujourd'hui, de te faire prendre conscience. Ça, ça s'applique dans toutes les décisions de notre vie de faire des choix plus alignés. Ce que je veux dire par aligné, c'est vraiment faire des choix qui résonnent avec toi, qui sortent vraiment de toi et tu te sens bien par rapport à ça. Tu te sens heureuse. Ce sont des choses qui te font sentir épanouie. Des fois, on s'empêche de dire oui à des opportunités pour ne pas déplaire à d'autres personnes ou on n'ose pas dire non à des opportunités qui nous passent. On n'a pas envie de dire oui à n'importe quoi. Je me rappelle que moi, pour ne pas déplaire à personne quand j'étais au secondaire, admettons que j'avais deux ou trois amis qui me demandaient de me voir la même soirée pour ne pas faire de peine à personne, pour ne pas, je ne sais pas moi, leur déplaire ou même pas, je leur disais oui aux trois. Puis là, après ça, t'imagines-tu dans quelle situation je me mettais? J'en reviens pas que je me mettais dans cette situation. Pour de vrai, aujourd'hui, même encore, j'ai de la misère à dire non. Je pense que ça fait partie du cheminement, d'apprendre à se choisir, à vivre pour nous-mêmes. Ça tombe pas, ça tombe pas. C'est correct. T'as le droit de dire non. On peut-tu se permettre, il n'y a rien de grave. Il n'y a personne qui ne va plus t'aimer si tu dis non. Sérieux, si quelqu'un ne t'aime plus et n'est pas gentil avec toi parce qu'il t'a dit non, si tu l'avais d'une manière respectueuse et qu'il t'a juste expliqué tes ressentis, écoute, je fais le pas. Quand on y va dans la vérité, je pense que c'est là que tout peut se dire. C'est important de le communiquer. Moi, en fait, je ne communiquais juste rien. J'étais juste mal à l'aise de tout. Je pilais sur des oeufs, mais je m'auto-mettais dans des situations comme ça. C'est comme si je méfiais de ça. Pour de vrai, ça m'est arrivé régulièrement de ne pas m'assumer dans mes choix, de juste avoir envie de m'habiller d'une certaine façon et de me changer des millions de fois. Je me rappelle, mes amis pourraient être très témoins de ça. Avant qu'on sorte ou qu'on aille, je ne sais pas où, ça arrive encore des fois. Mon chum, il est comme, ok, c'est beau, tu t'es changé quatre fois, mais je ne sais pas. C'est comme si je ne m'assumais pas dans mon style vestementaire. Je pense que nos vêtements, c'est très nous. Ça reflète beaucoup qui on est. C'est tellement important de se sentir bien dans nos vêtements et comment on est. Ça se transmet beaucoup. Je pense qu'aujourd'hui, je le fais juste pour moi parce que je veux me trouver belle et c'est important. C'est niaiseux, mais c'est allé. Non, ce n'est pas vrai, ce n'est pas niaiseux. Je ne veux pas dire ça dans le podcast. On a tendance à dire ça. C'est con, mais non. Il n'y a rien qui est banal, il n'y a rien qui est niaiseux. Tout est valide. Petite tendance. Juste d'apprendre à changer notre langage. Je suis allée dans un gala récemment pour le travail. Je me suis peignée d'une façon que je ne me peigne jamais. Je m'étais faite des petites demi-lulus sur le top de la tête. On me remarque quand je suis peignée avec ça. Je ne passe pas inaperçu. J'ai failli me dépeigner pour ne pas qu'on me juge. Je me suis regardée dans le miroir. Ça a pris des années avant que je sois capable de faire ça. Pour de vrai, c'est un cheminement. Je me suis regardée et j'ai fait comme, « Hey, tu te trouves belle. Tu as le goût d'aller à ton gala habillée comme ça, peignée comme ça. Tu vas y aller. » J'ai tellement reçu de beaux commentaires. « J'adore comment tu es peignée. C'est malade. » Tout le monde me disait que j'étais belle. Je pense que c'est ça que je veux te faire réaliser. C'est que quand tu t'assumes que tu es toi-même, c'est là que les gens voient notre vraie couleur. On se fait voir. Des fois, on veut passer inaperçu. Est-ce qu'on peut se célébrer en tant qu'humain parce qu'on est incroyable? On a toute notre unicité. C'est ça qui est beau. Pourquoi qu'on se cache? Pour de vrai, je te donne le défi de t'assumer pleinement. La prochaine fois que tu as un petit doute, « Je m'embeille-tu vraiment de moi? Je me peigne-tu vraiment comme ça? Je dis-tu vraiment ça? » Oui. Fais-toi confiance. L'important, c'est que tu te plaises à toi-même avant de plaire à quelqu'un d'autre. C'est tellement important. Je ne sais pas pourquoi qu'on cherche... En fait, on veut plaire. Les humains, c'est normal. On vit en société. On est en communauté. C'est tellement normal qu'on veut plaire, mais il ne faut pas que ça devienne malsain. Il faut qu'on soit capable de se détacher de ça et de ne pas prendre les commentaires ou quoi que ce soit pour du cash et de se dire, « Elle m'a dit que mes cheveux étaient laids. Elle m'a dit que je faisais ça. Je suis comme ça. » Il ne faut pas remettre en question qui on est parce que les gens nous l'ont dit. Je pense que c'est là le travail qu'il y a à faire. C'est de savoir qui c'est. C'est qui toi? C'est quoi ta valeur? Une fois que tu vas savoir ta valeur, que tu vas t'assumer pleinement, que tu vas savoir c'est quoi tes goûts, c'est quoi qui ne t'aime pas, c'est quoi qui t'aime, c'est qui que tu as envie d'avoir dans ta vie, quel genre de décision que tu as envie de prendre, de quel modèle tu as envie de vivre ta vie, une fois que ça, ça va être clair avec toi-même, tu vas t'assumer. Le reste, ça va être du surplus, mais ça ne va pas remettre en doute qui tu es. Je pense que trop longtemps, on vit sans savoir c'est qui qu'on est. On se sent perdu. C'est correct. Honnêtement, je crois profondément qu'on va toujours avoir des opinions dans notre vie. Notre cheminement ne sera jamais linéaire. C'est tellement correct. C'est sûr que j'entends dans un épisode de podcast que c'est mon sujet favori. Le fait que notre cheminement n'est jamais en ligne droite, vers le haut, tout beau, tout rose, ça fait partie de la vie d'avoir des dandes. Mais je pense que d'entamer ce travail-là sur toi, de te retrouver, de te poser des questions, puis de t'assumer pleinement, ça va faire en sorte que tu vas laisser beaucoup moins de pouvoir aux gens, de s'incruster dans ta vie de manière pas saine. Puis tu vas être beaucoup moins impacté par ce qui est autour. Des fois, qu'est-ce que les autres pensent, ou qu'est-ce qu'ils disent, ça nous touche tellement, on le prend tellement personnel, mais on ne devrait pas. Il n'y a rien qui est personnel, puis il n'y a pas une vérité, autre que la tienne, qui est bonne pour toi. Je pense qu'on a toutes des vérités différentes, on a toutes des réalités différentes, des croyances différentes. Ce n'est pas parce qu'il y a quelqu'un qui te dit que tu ne peux pas t'habiller de même, ou qu'il y a quelqu'un qui te dit que ce n'est pas une bonne idée, que c'est vrai. Il faut arrêter d'être shaky, puis de ne pas s'assumer, puis de tout remettre en doute parce qu'il y a quelqu'un qui nous a dit quelque chose. Comment peux-tu se tenir, puis se faire confiance, se lever, moi je me rappelle, oh my god, gros manque de confiance, je t'ai dit au début du podcast que je ne regardais personne dans les yeux, mais je marchais, j'évitais les regards, je marchais la tête tellement basse, mon dos était si rond, c'était terrible comment je dégageais le manque de confiance. J'avais beaucoup d'amour à cette Marlou, cette personne de moi qui est tellement apeurée par le monde, qui veut juste trouver sa place, qui a envie de plaire aux autres, mais tout ce temps-là, ce que je ne réalisais pas, c'était que je devais me plaire à moi-même avant tout. Souvent, on est notre pire ennemi, on se tape sur la tête, on est comme Colin, comment ça que je ne fit pas? Mais hey, ce n'est pas vrai que tu ne fit pas, comme ça, c'est ton super pouvoir, c'est ton, c'est la chose qui fait ton unicité, qui est tellement belle, qu'on devrait tous assumer nos vraies couleurs. Pour les assumer, il faut les découvrir, ces couleurs-là, des fois, on ne les connait pas. Je t'invite à partir à l'aventure un peu, c'est qui, c'est qui que tu es. Tout ça, je pense que ça va être, dans le travail de ça, tu peux faire du journaling, tu peux commencer à te parler dans le miroir, c'est quand même challengeant. Je vais te faire un autre épisode de podcast, c'est sûr, sur les techniques pour te retrouver, ça va en faire partie, c'est certain. Bref, tu iras l'écouter pour t'en servir, c'est mes meilleurs trucs. Je t'invite aussi à voir un peu l'autre côté de la main d'oeil, de te poser la question, on se dit tout le temps, si je fais ça, peut-être que quelqu'un va dire ça, mais si, on dirait qu'on voit toujours le côté négatif, on se dit tout le temps, imagine si je fais ça, la personne va peut-être pas m'aimer, ou si je me lance, imagine si ça ne marche pas, on ne s'assume pas, on ne se permet pas d'essayer des nouvelles choses, on reste tellement dans notre confort pour ne pas déplaire à personne, pour ne pas shaker personne, pour ne pas déstabiliser personne autour de nous. On n'est tellement pas habitué de choisir, on n'est tellement pas habitué de s'assumer et de faire des moves qui sont peut-être des fois risqués, ou d'être dans notre créativité, que nos proches, ils ne nous reconnaîtront même pas, ils vont se dire, mais pourquoi est-ce qu'on se dit ça? Pourquoi comme, je considère que notre entourage devrait tellement nous encourager, tellement nous nous supporter, sans comme, sans juste d'être dans le respect, puis si t'as peur, des fois c'est nous qui se crée ça, mais je pense que plus que tu vas t'assumer, plus que tu vas te choisir, plus que le ménage va se faire tout seul dans ta vie. Il y a les bonnes personnes qui vont rester, les mauvaises vont juste s'en aller, puis je sais qu'au début ça fait peur, on ne veut pas des peurs, on ne veut pas que les gens ne nous aiment pas, et moi c'est comme ma plus grande peur que j'avais, c'est que les gens ne m'aiment pas. Je voulais tellement que tout le monde m'aime, puis que je sache que quelqu'un ne m'aime pas, ça me faisait tellement de peine, mais au fond qu'est-ce que ça peut me faire? Je vais vivre ma vie pareil, je ne vais pas m'empêcher d'être quelqu'un que je suis pour vouloir que cette personne le m'aime. Tu sais quand on le verbalise, des fois quand on garde ces pensées-là dans notre tête, on dirait qu'on ne réalise pas comment c'est comme grave de faire ça, puis surtout que c'est quand même banal que quelqu'un ne nous aime pas, dans le fond. C'est comme si tu graves tant que ça, puis je ne veux pas banal dire rien, mais honnêtement, je dis ça parce que j'ai tellement longtemps ressenti ce feeling-là de tristesse, il me manquait quelque chose, comme ça me rentrait dedans, quand je savais que quelqu'un avait dit quelque chose, quoi que ce soit, puis maintenant là, je suis comme, ben tu sais quoi, ce n'est pas ce genre de personne-là que j'ai envie d'avoir dans ma vie, puis c'est tout, puis c'est correct, comme ça ne veut pas dire pour autant que cette personne-là c'est une mauvaise personne, moi je n'ai même pas envie de m'avancer là-dessus, je fais juste comme continuer, qu'est-ce que j'ai à faire, puis j'ai vraiment comme un entourage aligné avec moi à bâtir, si tu ne l'as pas déjà, je veux juste te dire que tu n'es pas toute seule, les bonnes personnes vont arriver à toi, tu vas manifester les choses dans ta vie, en t'assumant pleinement, des opportunités vont arriver à toi quand tu vas commencer à t'assumer, tu vas capoter, puis ça, on ne se le donne pas le doigt, on a tellement peur, on reste dans la peur, fait qu'on attire ça, comme on attire, genre, tout ce qu'on pense là, je pense vraiment qu'on l'attire, fait qu'arrête de penser au pire, arrête de penser que tu ne réussiras pas, arrête de penser que tu n'es pas correct ou que tu ne peux pas t'assumer, comme non, retrouve ce pouvoir là en toi, puis imagine si tu es capable, imagine si ça fonctionne, imagine si tu te retrouves en faisant ce projet là, en disant oui, imagine si de t'assumer là, c'est le premier pas vers une version de toi, tu vas vraiment plus s'épanouir, c'est fou, c'est important d'en prendre conscience, on est notre propre priorité, on est la seule personne avec qui on va vivre toute notre vie, puis qu'on n'a pas le choix, c'est important qu'on s'aime, qu'on apprenne à se connaître, puis plus tu vas te connaître, plus autour de toi, il n'y aura pas de choses qui vont, c'est sûr, genre life happens, pour de vrai, il y a toujours des choses qui vont arriver hors de notre contrôle, mais je pense que de se bâtir, une vie qui est alignée avec nous, ça va faire en sorte que on va pouvoir avoir plus de ressources, on va être plus aligné avec qui qu'on est, puis ça va peut-être être moins rough dans des situations difficiles justement, parce que tu vas avoir bâti un courage qui t'appuie pleinement sur qui tu peux compter, tu vas te sentir confortable chez toi, toutes les petites choses qui vont faciliter un peu ton processus, puis te mettre en confiance, puis en dans, pas dans le confort, mais dans, tu sais dans ton cocon qui est comme, où tu peux te réfugier dans le fond, parce que c'est tellement dur de comme ne pas savoir qui on est, on dirait que on est comme pas maître de qui on est, mais si tu savais comment que t'as ça en toi, comme tu l'as ton plein pouvoir, c'est juste qu'il faut que tu le prennes, puis que tu l'assumes, puis ça, c'est un jour à la fois, tranquillement, d'en prendre conscience, juste d'en prendre conscience, juste de te dire comme, hey, ça fait tant d'années que je m'assume pas, que je fais ça, mais que comme c'est pas vraiment ça que je veux faire, que, ouais, mais là, je peux pas changer de carrière, là, tout le monde veut, qu'est-ce qu'ils vont dire? Hey, qu'est-ce que ça fait? Qu'est-ce que, comme, est-ce qu'on peut arrêter de, comme, s'en soucier pour de vrai? Comme, moi, je t'invite à, quand t'as des décisions à prendre, rappelle-toi toujours de ton premier, tu sais, ton, ton comme de premier feeling, là, de genre gut feeling, là, que genre, oh my god, c'est excitant, ah, oui, comme, pis là, bam, comme direct, les peurs y embarquent. Comme, si j'avais écouté ma voix qui avait peur du jugement, qui avait peur d'échouer, qui avait peur de des pleurs, je te parlerais pas en ce moment, je te parlerais pas. Ça fait un an que je pense avoir un podcast, ça fait deux mois que j'ai commencé le processus, pis je te jure que j'ai failli choquer. J'ai failli choquer parce que je me disais, imagine si je suis pas aussi bonne que telle personne, tu sais, je suis quelqu'un qui écoute beaucoup de podcasts, pis je me disais, oh my god, mais comme, pourquoi, tu sais, comme, je suis qui? Mais, là, je me suis parlé. Pis je me suis dit, hey, t'as ton bagage à toi, t'as ta réalité, ton expérience, ton savoir, ton vécu, pis t'as quelque chose à apporter toi aussi. Pis je te parle à toi, t'as quelque chose à apporter. Assume-toi pleinement. Ça, c'est dans des petits choix, au quotidien. Des fois, on fait des choses un peu par conditionnement, tu sais, on se pose pas de questions, pis automatiquement, pour pas des pleurs, on est comme, non, on se protège. Non, je veux pas faire ça. Mais comme, pourquoi pas? Pis, repose-toi à la question. Ok, si là, je le fais vraiment pour moi, qu'il y a aucun risque, que j'ai, mettons que je vais réussir, pas qu'il y a aucun risque que je vais réussir, mais c'est assez pareil, ok, by the way. Genre, qu'il y a aucun risque, point. Pis qu'il y a comme une genre de, on s'en fout, si je réussis ou je réussis pas, comme, il y va rien arriver de grave, là. Peut-être qu'il y a la réponse avec différente. Fait que c'est juste comme, devenir un peu plus conscient dans son quotidien, c'est super important, pis, de devenir un peu plus alerte aux décisions qu'on prend, aux actions qu'on fait, pis d'essayer d'assumer un peu plus nos couleurs, de les dévoiler, de s'ouvrir à nous-mêmes, de devenir sa propre meilleure amie, pis, tranquillement, pas vite, comme, se rendre compte que dans le fond, ça fait partie de la vie, de des pleurs à certaines personnes, mais c'est juste pas les bonnes personnes pour nous, pis c'est correct. Comme on peut pas pleurer à tout le monde, il y a tellement du mien sur la terre, là. Comme si tu penses que tu, tout le monde peut t'aimer, ben non, il y en a qui ça va pas t'inquiéter, pis c'est pas grave. Ça t'enlève rien. Ça t'enlève absolument rien, pis, tu vas juste développer une vie, que tu mérites en étant toi-même, que tu, tu vas juste te sentir beaucoup plus sereine, tu vas te sentir moins, tout le temps, comme sur le, je sais pas, le, t'es un peu en situation de danger, là, d'être stressée, que tout le monde nous juge, ou tout le monde, faut vraiment que tu te détaches de ça. Là, c'est mon premier épisode, fait que j'ai plein d'idées qui pop, pis tout ce que je dis, je suis comme, je vais faire un épisode là-dessus, fait que ça s'en vient. Je t'ai dit tout ça, mais, je vais te donner mes trucs, comment passer par-dessus ça, parce que je sais que ça va pas être dur, mais tranquillement, pas vite, tu sais, c'est vraiment un pas à la fois, des fois, on voit ça tellement gros, on est comme, my god, mais là, je peux pas faire ça, comme, oui, tu peux le faire, mais, faut que tu lâches prise, faut que tu te laisses la chance de, de te choisir, dans le fond. Pis j'ai dit, j'avais posé une question d'introspection à chaque même épisode, fait que, je vais te la poser, en fait, j'aimerais dire, j'espère, en tout cas, que mon podcast te fait réfléchir, te fait réaliser peut-être certaines choses, peut-être qu'il y a des choses que tu pourrais, tu pourrais changer, pour vivre plus en alignement avec toi-même, pis, je te pose la question, dans quelle sphère de ta vie tu penses que tu t'assumes peut-être pas pleinement, ou que t'as peur de déplaire, peut-être que c'est au travail, peut-être que c'est dans la manière que tu, tu, vis ton quotidien par rapport à tes habitudes, peut-être que c'est dans tes amitiés, dans l'amour, dans tes projets personnels, dans ta créativité, dans ta façon de t'habiller, honnêtement, comme toutes les sphères, n'importe quelle, pis si c'est toutes, ça peut être toutes, commence par une, choisis-en une, pis comment est-ce que tu peux faire pour t'assumer un peu plus dans cette sphère-là? Commence par une, pis j'aimerais vraiment ça si t'es capable de juste peut-être le commenter, ou le, t'sais, viens m'écrire si tu veux qu'on continue la conversation, moi ça me fait vraiment plaisir. Fait que c'est ça, ça va être tout pour cet premier épisode, fait que je te souhaite une magnifique journée, je suis vraiment reconnaissante de ton écoute, fait que je vais te laisser là-dessus. Bye!